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Critique de Aurelalala
Elisabet Guillot nous offre une suite mouvementée où il faut garder son esprit bien accroché.
Nous retrouvons les protagonistes précédents en position de faiblesse suite au dernier affrontement. Sofia est confuse, n'importe qui le serait dans sa situation. Quant à ce brave Ewald, il sent bien qu'il ne contrôle pas grand chose, surtout pas la partie où il est censé protéger son Éveillée.
Ce tome, c'est celui où les intentions se dessinent et apparaissent parfaitement. Quelques surprises à prévoir surtout lorsqu'il est difficile de démêler le bien du mal.
Ça bouge pour tous et parfois bien trop. La présence importune des Umbras sème désastre sur désastre. Réaliser qu'ils sont trop peu nombreux pour rivaliser coûte le moral des Gardiens.
Côté romance, j'ai été un peu embêtée concernant un point précis. Les goûts et les couleurs... Ewald m'a agacée un moment. Il remonte un peu dans mon classement mais son attitude n'était pas encourageante. Heureusement que Zach vient compenser cela, à mes yeux. de trop nombreux défauts de communication empêchent les choses de se résoudre et d'évoluer, qu'il s'agisse des événements autour qui nécessitent de mettre entre parenthèses les émotions superflues ou d'ego blessé.
Vous l'aurez compris, ce second tome est loin d'être reposant malgré un départ un peu lent. Hâte de découvrir la conclusion de cette trilogie.
Nous retrouvons les protagonistes précédents en position de faiblesse suite au dernier affrontement. Sofia est confuse, n'importe qui le serait dans sa situation. Quant à ce brave Ewald, il sent bien qu'il ne contrôle pas grand chose, surtout pas la partie où il est censé protéger son Éveillée.
Ce tome, c'est celui où les intentions se dessinent et apparaissent parfaitement. Quelques surprises à prévoir surtout lorsqu'il est difficile de démêler le bien du mal.
Ça bouge pour tous et parfois bien trop. La présence importune des Umbras sème désastre sur désastre. Réaliser qu'ils sont trop peu nombreux pour rivaliser coûte le moral des Gardiens.
Côté romance, j'ai été un peu embêtée concernant un point précis. Les goûts et les couleurs... Ewald m'a agacée un moment. Il remonte un peu dans mon classement mais son attitude n'était pas encourageante. Heureusement que Zach vient compenser cela, à mes yeux. de trop nombreux défauts de communication empêchent les choses de se résoudre et d'évoluer, qu'il s'agisse des événements autour qui nécessitent de mettre entre parenthèses les émotions superflues ou d'ego blessé.
Vous l'aurez compris, ce second tome est loin d'être reposant malgré un départ un peu lent. Hâte de découvrir la conclusion de cette trilogie.
