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Critique de Livrescapades
Suite à l'avalanche de commentaires dithyrambiques sur Block 46 de Johana Gustawsson, je m'attendais à lire qqch de vraiment excellent. Je crains donc être bien seule à émettre un avis défavorable sur ce livre... mais voilà, je n'ai pas du tout aimé cette lecture, à tel point que je l'ai abandonnée après 200 pages (à la moitié). Ma déception est énorme. Je vous livre mon ressenti en deux mots, en espérant ne froisser personne car mon avis est très sévère.
L'écriture: simpliste. Plate et impersonnelle. Une succession de faits relativement inintéressants et souvent creux. Beaucoup d'informations superficielles et de dialogues qui ne servent à rien, surtout dans les chapitres qui se déroulent de nos jours. Je pense notamment aux appels téléphoniques entre Alexis et à sa mère et aux nombreuses références aux apéros, chips, burgers et autres frites qui n'apportent strictement rien au récit.
Les personnages: très inconsistants, sans aucune épaisseur. le décor, les descriptions, l'atmosphère: quasi inexistants. Que le récit se déroule à Londres ou en Suède, à l'extérieur ou à l'intérieur, c'est du pareil au même. L'intrigue: l'idée d'alterner entre présent et passé, entre des meurtres perpétrés par un serial killer et la barbarie des camps de concentration est certes osée et originale mais ne m'a pas convaincue pour autant. L'enquête est bancale et reste bcp trop à la surface. Enfin, certaines ficelles laissent présager un dénouement sans surprise.
Si je ne remets évidemment pas en cause le travail de recherche fourni par l'auteure ni le devoir de mémoire, il n'en reste pas moins que pour moi ce livre est loin d'être abouti. Je pense que j'en resterai malheureusement là avec l'auteure.
L'écriture: simpliste. Plate et impersonnelle. Une succession de faits relativement inintéressants et souvent creux. Beaucoup d'informations superficielles et de dialogues qui ne servent à rien, surtout dans les chapitres qui se déroulent de nos jours. Je pense notamment aux appels téléphoniques entre Alexis et à sa mère et aux nombreuses références aux apéros, chips, burgers et autres frites qui n'apportent strictement rien au récit.
Les personnages: très inconsistants, sans aucune épaisseur. le décor, les descriptions, l'atmosphère: quasi inexistants. Que le récit se déroule à Londres ou en Suède, à l'extérieur ou à l'intérieur, c'est du pareil au même. L'intrigue: l'idée d'alterner entre présent et passé, entre des meurtres perpétrés par un serial killer et la barbarie des camps de concentration est certes osée et originale mais ne m'a pas convaincue pour autant. L'enquête est bancale et reste bcp trop à la surface. Enfin, certaines ficelles laissent présager un dénouement sans surprise.
Si je ne remets évidemment pas en cause le travail de recherche fourni par l'auteure ni le devoir de mémoire, il n'en reste pas moins que pour moi ce livre est loin d'être abouti. Je pense que j'en resterai malheureusement là avec l'auteure.
