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Critique de guile
L'un des maîtres du space opéra récidive. Après le très réussi cycle de l'Aube de la nuit et le non moins sympathique Étoile de Pandore, voici le premier tome de la trilogie du vide et cela commence pas mal. Ceux qui n'ont jamais lu d'Hamilton feraient bien de s'enfiler les trois tomes de l'Étoile de Pandore car cette nouvelle trilogie se situe dans le même univers et les références sont nombreuses. En plus, c'est dommage de manquer la découverte de MatinLumière. Un grand moment. Une des originalités de ce dernier cycle, c'est de mélanger des phases purement fantasy avec la hard science habituelle et c'est pour l'instant une bonne surprise (j'avoue, j'aime la fantasy).
