Le Couteau de Jenufa

On peut dire que ça démarre pas mal. Mais dans le genre polar victorien, sans doute le Premier prix. Dire que les phrases sont un peu longues ce serait comme affirmer que les haïkus sont déjà un peu trop développés. Bref on se perd souvent dans une écriture précieuse, sur la base d'une intrigue qu'on peut ne pas apprécier. le titre évoque un opéra de Leos Janacek : "Jenufa". Tout le monde l'écoute dans ce polar et des correspondances laborieuses s'établissent entre l'enquêteur et "l'assassin". le personnage central est aussi habité par une grande indécision concernant sa vie amoureuse. le bon côté du livre, c'est qu'il finira par se décider : une "happy end" digne des romans d'amour qui finissent bien.
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