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Critique de soleil23
Un roman qui raconte la magie, les sorcières et un vieux grimoire a tout pour me plaire. Eh, bien je vais vous étonner plus, en vous disant que « Charmed » a été pour longtemps ma série télévisée préférée. Dans cette histoire, il n'est pas question de Prue (celle que j'affectionnais le plus) mais de Diana l'historienne.
Je suis vite tombée sous le charme du ''Livre perdu des sortilèges'' et à plusieurs reprises, j'ai même accompagné Diana avec un bon thé (je lis toujours en buvant du Che (en vietnamien)) et je me suis sentie prendre place à côté d'elle dans la bibliothèque. J'ai beaucoup aimé l'aspect descriptif des lieux, des us et coutumes dans l'ancien temps et encore plus les particularités de chacune des trois communautés. La lecture devenant, à certains passages, une vraie visite virtuelle, je sentais presque les parfums qui se dégageaient des personnages.
L'auteure nous fait découvrir le monde de Matthieu où chaque objet recèle un secret et chaque souvenir nous renvoie à un passé et à des contrées lointains. Par contre, je trouve que la vie de Diana, la sorcière, n'a pas été trop fouillée et demeure pleine de mystères et de points d'interrogation.
La fin de ce roman nous laisse sur notre faim et notre soif …
C'est une porte ouverte à notre imagination.
Petite surprise : même les vampires donnent des noms arabes à leurs chevaux !!!
Je suis vite tombée sous le charme du ''Livre perdu des sortilèges'' et à plusieurs reprises, j'ai même accompagné Diana avec un bon thé (je lis toujours en buvant du Che (en vietnamien)) et je me suis sentie prendre place à côté d'elle dans la bibliothèque. J'ai beaucoup aimé l'aspect descriptif des lieux, des us et coutumes dans l'ancien temps et encore plus les particularités de chacune des trois communautés. La lecture devenant, à certains passages, une vraie visite virtuelle, je sentais presque les parfums qui se dégageaient des personnages.
L'auteure nous fait découvrir le monde de Matthieu où chaque objet recèle un secret et chaque souvenir nous renvoie à un passé et à des contrées lointains. Par contre, je trouve que la vie de Diana, la sorcière, n'a pas été trop fouillée et demeure pleine de mystères et de points d'interrogation.
La fin de ce roman nous laisse sur notre faim et notre soif …
C'est une porte ouverte à notre imagination.
Petite surprise : même les vampires donnent des noms arabes à leurs chevaux !!!
