>
Critique de Valtameri
J'ai compté dans les 50 premières pages 15 fois où on nous rabâche que l'héroïne est différente des autres femmes ou est comparée aux hommes (et j'ai compté comme une seule fois les paragraphes qui étaient consacrés à ce sujet).
Elle a eu "un élan de sensualité" en enfilant seule sa robe, parce que le tissu lui a frôlé les seins.... (à ce passage, j'ai du vérifier parce que ça me semblait vraiment écrit par un de ces auteurs machos qui ont l'air persuadé qu'une femme se tripote dès qu'elle est toute seule et qui sont incapables de parler d'un perso féminin sans parler de ses seins...)
Elle a lancé une pierre à mains nues "avec la force d'une catapulte"...
Je n'en suis même pas au 1/5e du livre et bien que ça se lise vite (écriture simplette et c'est écrit gros), je ne sais même pas si je vais finir tant c'est insupportable.
Je savais en voyant cette couverture (et d'après ce que je vois, ce n'est même pas la plus risible des couvertures de l'autrice) que ce ne serait pas une lecture qui me marquerait, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit si naze.
Il y a des milliers de livres à lire plutôt que de s'attarder sur cette purge, aussi je recommande à toute personne douée de raison et qui a dépassé les premiers émois de l'adolescence, où la simple lecture du mot "sein" provoque des chatouillis dans le bas ventre, de s'épargner la lecture de ce roman.
Elle a eu "un élan de sensualité" en enfilant seule sa robe, parce que le tissu lui a frôlé les seins.... (à ce passage, j'ai du vérifier parce que ça me semblait vraiment écrit par un de ces auteurs machos qui ont l'air persuadé qu'une femme se tripote dès qu'elle est toute seule et qui sont incapables de parler d'un perso féminin sans parler de ses seins...)
Elle a lancé une pierre à mains nues "avec la force d'une catapulte"...
Je n'en suis même pas au 1/5e du livre et bien que ça se lise vite (écriture simplette et c'est écrit gros), je ne sais même pas si je vais finir tant c'est insupportable.
Je savais en voyant cette couverture (et d'après ce que je vois, ce n'est même pas la plus risible des couvertures de l'autrice) que ce ne serait pas une lecture qui me marquerait, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit si naze.
Il y a des milliers de livres à lire plutôt que de s'attarder sur cette purge, aussi je recommande à toute personne douée de raison et qui a dépassé les premiers émois de l'adolescence, où la simple lecture du mot "sein" provoque des chatouillis dans le bas ventre, de s'épargner la lecture de ce roman.
