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Critique de giyohm
Je rejoins complètement l'autre commentaire. Au premier degré, l'auteur invite à la banalisation d'une certaine forme de violence parentale qu'il légitime par une description toute personnelle et complètement infondée du monde et de son fonctionnement actuel.
Au second degré, il serait possible de voir ça comme une critique cynique des discours légitimant des apôtres d'une vieille éducation basée sur la contrainte et la discipline, mais le propos serait si peu clair qu'il ne peut que mettre mal à l'aise.
Une lecture pénible et inquiétante tant nous pouvons imaginer facilement des parents prendre ces propos pour argent comptant et vouloir appliquer avec soin cette méthode de destruction des rapports père/fils.
J'ajouterai au passage que les comportements décrits chez le fils sont incroyables et qu'il faut avoir sacrément raté les premières années pour en arriver là (le rejet de la faute sur la société d'aujourd'hui, son rythme et ses écrans, est tout à fait symptomatique).
Au second degré, il serait possible de voir ça comme une critique cynique des discours légitimant des apôtres d'une vieille éducation basée sur la contrainte et la discipline, mais le propos serait si peu clair qu'il ne peut que mettre mal à l'aise.
Une lecture pénible et inquiétante tant nous pouvons imaginer facilement des parents prendre ces propos pour argent comptant et vouloir appliquer avec soin cette méthode de destruction des rapports père/fils.
J'ajouterai au passage que les comportements décrits chez le fils sont incroyables et qu'il faut avoir sacrément raté les premières années pour en arriver là (le rejet de la faute sur la société d'aujourd'hui, son rythme et ses écrans, est tout à fait symptomatique).
