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Critique de cicou45
Deux albums réunis en un et qui plus est, dans une édition de luxe. du coup, même si ce ne ce sont pas mes albums préférés des aventures de Tintin, cela valait quand même la peine que je les relise (de toute façon, je ne m'en lasserai jamais).
Est-il vraiment nécessaire que je vous remémore l'histoire ? Bon, juste un petit peu alors : dans le Lotus Bleu, il est question d'un trafic d'opium à Shanghai mais surtout d'un fameux poison-qui-rend-fou : le radjaïdjah dont le diabolique Mitsuhirato fait largement usage afin de désarmer ses ennemis. L'ambiance entre le Japon et la Chine n'étant alors pas au mieux, Mistuhirato ne souhaite qu'une chose : aggraver les choses afin qu'une guerre éclate et cela bien sûr, pour son propre compte car il ne faut pas croire mais les méchants trouven,t toujours leur compte quelque part (que ce soit dans les albums de Tintin ou dans la vraie vie d'ailleurs).
Le deuxième album présenté ici, Tintin au Tibet, parle au contraire d'une énorme foi en la vie et surtout en l'amitié. Tchang, dont notre jeune reporter a fait la connaissance dans le tome précédent, considère un peu Tintin comme son frère et cela, de façon réciproque. Aussi, lorsque Tintin apprend qu'un terrible crash d'avion a eu lieu au Népal (avion dans lequel Tchang se trouvait), il se refuse à croire en la mort de son ami. Il va donc partir sur ses traces, accompagné par ce bon vieux bougre de capitaine Haddock et de son fidèle chien Milou pour le retrouver, sans crainte du danger qui l'attend. Jusqu'où l'amitié peut-elle bien aller ? On la dit capable de déplacer des montagnes et si vous en douttez encore, je vous conseille de vous replonger dans ces bons vieux classiques ! de plus, si vous avez l'occasion de vous procurer ces ouvrages en édition de luxe, réédités, alors surtout, ne voue privez pas ! Cela fait toujours plus classe dans une bibliothèque ! A lire et à relire sans modération !
Est-il vraiment nécessaire que je vous remémore l'histoire ? Bon, juste un petit peu alors : dans le Lotus Bleu, il est question d'un trafic d'opium à Shanghai mais surtout d'un fameux poison-qui-rend-fou : le radjaïdjah dont le diabolique Mitsuhirato fait largement usage afin de désarmer ses ennemis. L'ambiance entre le Japon et la Chine n'étant alors pas au mieux, Mistuhirato ne souhaite qu'une chose : aggraver les choses afin qu'une guerre éclate et cela bien sûr, pour son propre compte car il ne faut pas croire mais les méchants trouven,t toujours leur compte quelque part (que ce soit dans les albums de Tintin ou dans la vraie vie d'ailleurs).
Le deuxième album présenté ici, Tintin au Tibet, parle au contraire d'une énorme foi en la vie et surtout en l'amitié. Tchang, dont notre jeune reporter a fait la connaissance dans le tome précédent, considère un peu Tintin comme son frère et cela, de façon réciproque. Aussi, lorsque Tintin apprend qu'un terrible crash d'avion a eu lieu au Népal (avion dans lequel Tchang se trouvait), il se refuse à croire en la mort de son ami. Il va donc partir sur ses traces, accompagné par ce bon vieux bougre de capitaine Haddock et de son fidèle chien Milou pour le retrouver, sans crainte du danger qui l'attend. Jusqu'où l'amitié peut-elle bien aller ? On la dit capable de déplacer des montagnes et si vous en douttez encore, je vous conseille de vous replonger dans ces bons vieux classiques ! de plus, si vous avez l'occasion de vous procurer ces ouvrages en édition de luxe, réédités, alors surtout, ne voue privez pas ! Cela fait toujours plus classe dans une bibliothèque ! A lire et à relire sans modération !
