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Critique de carolitne
Après le crime ...
Celui qu'on a oublié.
Quand on se réveille et que l'on ne se souvient de rien. Que l'on ignore tout de l'effroyable vérité qui s'impose à vous par une violence inouïe.
Après le crime ...
Celui que tout le monde ignore.
Auquel personne ne croit mais qui pourtant les concerne tous. Qui va ébranler toutes leurs certitudes.
Après le crime ...
Quand l'on ne peut faire confiance à personne, que chacun cache une part d'ombre prête à vous entraîner dans les ténèbres.
Après le crime ...
Quand le temps presse, qu'il s'échappe comme ils vous échappent. Un temps qu'il faudra remonter dans une course contre -la-montre pour les retrouver.
Pour comprendre ce qui s'est passé.
Avant le crime.
Regarder droit dans les yeux ce que l'on a pas vu, braver ce qu'ils n'ont pas voulu voir.
Pour affronter le regard de celles que l'on n'a su percer, pour enfin entendre celles que l'on a pas voulu écouter.
Ces invisibles que l'ont croit connaître, si proches et pourtant si étrangers.
"Après le crime", Jojo se réveille, droguée, désorientée. Elle a été violée, elle a tout oublié.
Sa mère, régulatrice au service des urgences, son père, chef de la police locale s'engagent dans une course contre -la-montre pour comprendre ce qui s'est passé. Et retrouver la meilleure amie de Jojo, portée disparue.
D'un style nerveux qui répond à toute l'urgence de l'intrigue, l'autrice embarque le lecteur dans un sprint vers la vérité.
Les chapitres de succèdent au rythme des découvertes nous encourageant furieusement à tourner les pages.
Malheureusement, l'écriture répond au même soin d'efficacité, au risque de céder à la banalité, au risque de n'aborder qu'en superficialité les sujets forts d'une actualité brûlante.
"Après le crime" est un polar efficace qui répond aux codes du genre, quitte à en perdre en originalité. Pour mieux happer le lecteur.
Pour mieux le perdre, aussi.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Celui qu'on a oublié.
Quand on se réveille et que l'on ne se souvient de rien. Que l'on ignore tout de l'effroyable vérité qui s'impose à vous par une violence inouïe.
Après le crime ...
Celui que tout le monde ignore.
Auquel personne ne croit mais qui pourtant les concerne tous. Qui va ébranler toutes leurs certitudes.
Après le crime ...
Quand l'on ne peut faire confiance à personne, que chacun cache une part d'ombre prête à vous entraîner dans les ténèbres.
Après le crime ...
Quand le temps presse, qu'il s'échappe comme ils vous échappent. Un temps qu'il faudra remonter dans une course contre -la-montre pour les retrouver.
Pour comprendre ce qui s'est passé.
Avant le crime.
Regarder droit dans les yeux ce que l'on a pas vu, braver ce qu'ils n'ont pas voulu voir.
Pour affronter le regard de celles que l'on n'a su percer, pour enfin entendre celles que l'on a pas voulu écouter.
Ces invisibles que l'ont croit connaître, si proches et pourtant si étrangers.
"Après le crime", Jojo se réveille, droguée, désorientée. Elle a été violée, elle a tout oublié.
Sa mère, régulatrice au service des urgences, son père, chef de la police locale s'engagent dans une course contre -la-montre pour comprendre ce qui s'est passé. Et retrouver la meilleure amie de Jojo, portée disparue.
D'un style nerveux qui répond à toute l'urgence de l'intrigue, l'autrice embarque le lecteur dans un sprint vers la vérité.
Les chapitres de succèdent au rythme des découvertes nous encourageant furieusement à tourner les pages.
Malheureusement, l'écriture répond au même soin d'efficacité, au risque de céder à la banalité, au risque de n'aborder qu'en superficialité les sujets forts d'une actualité brûlante.
"Après le crime" est un polar efficace qui répond aux codes du genre, quitte à en perdre en originalité. Pour mieux happer le lecteur.
Pour mieux le perdre, aussi.
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