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Critique de AnneSparrow
Un splendide essai illustré, élégant, joyeux, nécessaire, irrévérencieux sans irrespect (au contraire).
Une ode à l'écoute et à l'éducation de notre propre corps, notre propre désir qui s'articule (ou non) à celui de l'autre, une dédiabolisation de la chair, particulièrement celle de la femme, pour une reconstruction dans la bienveillance et le dialogue, hors des tabous.
Une ode à l'écoute et à l'éducation de notre propre corps, notre propre désir qui s'articule (ou non) à celui de l'autre, une dédiabolisation de la chair, particulièrement celle de la femme, pour une reconstruction dans la bienveillance et le dialogue, hors des tabous.
