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Critique de OLDB
Lorsque j'ai commencé ce livre, j'aimais bien les premières pages, l'histoire n'a pas mis cent pages à se mettre en place, et ça avait l'air tout mignon. J'ai très vite déchanté...
Alors, dans ce livre, on a un mix de tout ce qui ne va pas dans un livre. Déjà, le manque de communication, sans déconner, pendant plus de 300 pages ils sont incapables de se dire ce qu'ils pensent, je veux bien que Stella soit excusée évidemment par son syndrome d'asperger, mais Michael ?? Il n'a clairement zéro excuse. Ensuite, la répétition et les longueurs, sans déconner, il ne s'est RIEN passé, strictement rien du tout dans ce livre, à part des scènes de cul pendant 300 pages, mais vraiment y a rien d'autre. Et puis les personnages bizarres voire problématiques, on en parle ? Non parce qu'entre le collègue de travail qui la harcèle et l'embrasse de force et qui décrète qu'ils sortent ensemble sans qu'elle le veuille, le père de cette dernière qui veut qu'elle sorte avec ce même harceleur, et le Michael qui ose dire qu'elle a des seins dont les hommes et les bébés rêvent ??? C'est super bizarre, je suis désolée.
Et puis le vocabulaire utilisé "Ma Stella", mon Dieu, c'est cucul la praline et cringy complet, j'avais l'impression de lire After et les répliques d'Hardin, sauf qu'on le sait qu'After n'est pas un chef d'oeuvre, si on le lit, on plonge volontairement dedans en connaissance de cause, mais là, personne ne m'avait prévenu.
Enfin bon, j'ai fini par le lire en diagonal, ils ne font que coucher ensemble, ils ne communiquent pas, ils se plaisent, ils s'aiment, mais ils croient que ce n'est pas réciproque parce qu'ils ne savent pas discuter, puis Stella est atteint d'autisme sauf au lit, bizarrement, tout disparait grâce au grand Michael qui lui donne trois orgasmes en un cunni.
Ah la la, vite lu et sera vite oublié.
Alors, dans ce livre, on a un mix de tout ce qui ne va pas dans un livre. Déjà, le manque de communication, sans déconner, pendant plus de 300 pages ils sont incapables de se dire ce qu'ils pensent, je veux bien que Stella soit excusée évidemment par son syndrome d'asperger, mais Michael ?? Il n'a clairement zéro excuse. Ensuite, la répétition et les longueurs, sans déconner, il ne s'est RIEN passé, strictement rien du tout dans ce livre, à part des scènes de cul pendant 300 pages, mais vraiment y a rien d'autre. Et puis les personnages bizarres voire problématiques, on en parle ? Non parce qu'entre le collègue de travail qui la harcèle et l'embrasse de force et qui décrète qu'ils sortent ensemble sans qu'elle le veuille, le père de cette dernière qui veut qu'elle sorte avec ce même harceleur, et le Michael qui ose dire qu'elle a des seins dont les hommes et les bébés rêvent ??? C'est super bizarre, je suis désolée.
Et puis le vocabulaire utilisé "Ma Stella", mon Dieu, c'est cucul la praline et cringy complet, j'avais l'impression de lire After et les répliques d'Hardin, sauf qu'on le sait qu'After n'est pas un chef d'oeuvre, si on le lit, on plonge volontairement dedans en connaissance de cause, mais là, personne ne m'avait prévenu.
Enfin bon, j'ai fini par le lire en diagonal, ils ne font que coucher ensemble, ils ne communiquent pas, ils se plaisent, ils s'aiment, mais ils croient que ce n'est pas réciproque parce qu'ils ne savent pas discuter, puis Stella est atteint d'autisme sauf au lit, bizarrement, tout disparait grâce au grand Michael qui lui donne trois orgasmes en un cunni.
Ah la la, vite lu et sera vite oublié.
