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Critique de forcevertelit
J'ai une affection toute particulière (et sans vraiment savoir pourquoi) pour les personnages autistes, ça me touche toujours énormément. Sans ressentir de la pitié, je suis juste bouleversée par leur manière d'appréhender le monde, les relations humaines et à quel point notre société malade les rend malheureux et "déconnectés" à force de les obliger à se sur-adapter en permanence.
Dans une romance, c'est encore plus poignant, puisque c'est la base même souvent des personnes sur le spectre : la difficulté de vivre des relations amoureuses. Stella m'a donc vraiment émue, sa volonté de bien faire et de s'adapter à toutes les relations, sans jamais dire qu'elle est sur le spectre pour ne pas être regardée et considérée autrement.
N'étant pas sur le spectre autistique, je ne peux dire que je comprends mais l'autrice a découvert qu'elle l'était en écrivant ce roman et Helen Hoang s'est inspirée d'elle-même pour esquisser son personnage, donc je suppose que les réactions, les émotions, les pensées sont écrites avec réalisme (bien que le principe d'un spectre fait qu'aucune personne ne ressemble à une autre).
Peut-être même trop ! Je n'ai rien contre les scènes de sexe, mais il y en a vraiment pas mal dans ce roman, notamment afin de décrire l'alchimie entre Stella et Michael. Les scènes sont bien écrites, pas vulgaires et très émoustillantes d'ailleurs, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi présent. Un point positif est que Michael respecte Stella, malgré son envie souvent impérieuse, et il y a des scènes d'intimité, où ils s'apprivoisent sans pénétration pour ne pas la brusquer, ce qui n'en fait pas moins des scènes sexuelles (car la sexualité n'est pas que pénétration).
En rédigeant cette chronique, je me suis dit qu'à partir du moment où j'ai noté 5/5, c'est que ça ne m'avait pas tant perturbée que ça ! Plutôt surprise, car avec le trouble autistique de l'héroïne et son passé légèrement traumatisant, je ne pensais pas lire autant de sensualité ; finalement, c'est bien car ça permet de parler de la sexualité quand on a un handicap.
Enfin, mention spéciale à Michael qui est un personnage masculin attachant et adorable, ça fait du bien de lire une romance saine avec quelques péripéties et rebondissements pour mon petit coeur, notamment grâce au trope "fake-relationship": comment aborder les sentiments quand on est payé pour ce qu'on fait ?
Dans une romance, c'est encore plus poignant, puisque c'est la base même souvent des personnes sur le spectre : la difficulté de vivre des relations amoureuses. Stella m'a donc vraiment émue, sa volonté de bien faire et de s'adapter à toutes les relations, sans jamais dire qu'elle est sur le spectre pour ne pas être regardée et considérée autrement.
N'étant pas sur le spectre autistique, je ne peux dire que je comprends mais l'autrice a découvert qu'elle l'était en écrivant ce roman et Helen Hoang s'est inspirée d'elle-même pour esquisser son personnage, donc je suppose que les réactions, les émotions, les pensées sont écrites avec réalisme (bien que le principe d'un spectre fait qu'aucune personne ne ressemble à une autre).
Peut-être même trop ! Je n'ai rien contre les scènes de sexe, mais il y en a vraiment pas mal dans ce roman, notamment afin de décrire l'alchimie entre Stella et Michael. Les scènes sont bien écrites, pas vulgaires et très émoustillantes d'ailleurs, mais je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi présent. Un point positif est que Michael respecte Stella, malgré son envie souvent impérieuse, et il y a des scènes d'intimité, où ils s'apprivoisent sans pénétration pour ne pas la brusquer, ce qui n'en fait pas moins des scènes sexuelles (car la sexualité n'est pas que pénétration).
En rédigeant cette chronique, je me suis dit qu'à partir du moment où j'ai noté 5/5, c'est que ça ne m'avait pas tant perturbée que ça ! Plutôt surprise, car avec le trouble autistique de l'héroïne et son passé légèrement traumatisant, je ne pensais pas lire autant de sensualité ; finalement, c'est bien car ça permet de parler de la sexualité quand on a un handicap.
Enfin, mention spéciale à Michael qui est un personnage masculin attachant et adorable, ça fait du bien de lire une romance saine avec quelques péripéties et rebondissements pour mon petit coeur, notamment grâce au trope "fake-relationship": comment aborder les sentiments quand on est payé pour ce qu'on fait ?
