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Critique de Emamka
Une pépite que je découvre hélas si tardivement ! Mais quel bonheur de retrouver l'enthousiasme fougueux de mon adolescence en lisant cette histoire.
Je n'arriverais jamais à livrer un compte-rendu exhaustif de ce tout ce que j'ai adoré, mais pour résumer ;
La narration interne ultra immersive, le personnage principal touchant que l'on suit depuis l'enfance comme s'il était notre propre enfant.
Les personnages qu'il rencontre, tous à l'encontre des stéréotypes, tel le mentor bourru mais sensible, le maître assassin émotif au comportement très maternel, l'oncle viril et protecteur, l'oncle raffiné et détestable, la maître d'armes (au féminin!), l'amie d'enfance qui casse des nez, les animaux dépeins avec humanité, etc.
Le Lore imaginatif, passionnant, livré petit à petit et qui ne nous perd jamais.
L'histoire, les intrigues, les enjeux cohérents, réalistes, qui sans tomber dans l'épique propre aux récits du genre (combat bien contre mal, obscurité contre lumière) nous livrent un récit de vie pourtant passionnant ! Cela tient aussi à cette narration si fluide, si immersive, je me répète mais O combien c'est important.
Enfin, la structure ficelée avec brio, alternant le Fitz contemporain qui écrit ses mémoires, et le jeune Fitz alors ignorant de son avenir.
Bref, une référence que je découvre tardivement, mais quel bonheur !
Je n'arriverais jamais à livrer un compte-rendu exhaustif de ce tout ce que j'ai adoré, mais pour résumer ;
La narration interne ultra immersive, le personnage principal touchant que l'on suit depuis l'enfance comme s'il était notre propre enfant.
Les personnages qu'il rencontre, tous à l'encontre des stéréotypes, tel le mentor bourru mais sensible, le maître assassin émotif au comportement très maternel, l'oncle viril et protecteur, l'oncle raffiné et détestable, la maître d'armes (au féminin!), l'amie d'enfance qui casse des nez, les animaux dépeins avec humanité, etc.
Le Lore imaginatif, passionnant, livré petit à petit et qui ne nous perd jamais.
L'histoire, les intrigues, les enjeux cohérents, réalistes, qui sans tomber dans l'épique propre aux récits du genre (combat bien contre mal, obscurité contre lumière) nous livrent un récit de vie pourtant passionnant ! Cela tient aussi à cette narration si fluide, si immersive, je me répète mais O combien c'est important.
Enfin, la structure ficelée avec brio, alternant le Fitz contemporain qui écrit ses mémoires, et le jeune Fitz alors ignorant de son avenir.
Bref, une référence que je découvre tardivement, mais quel bonheur !
