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Critique de Plumefil
C'est pleine d'entrain que j'ai retrouvé Fitz après quelques mois de pause. Jeune homme responsable, il est conscient de sa place en marge de la famille royale toute-puissante. Ses talents sont au service du roi Subtil, fatigué et surtout du prince-servant Vérité, avec sincérité, mais la fourberie du prince Royal gagne du terrain, aux yeux de tous.
Ce deuxième tome, excessivement lent, est plus tourné vers l'introspection de notre héros que vers l'action. Cependant, le récit est jalonné de situations nouvelles. Fitz, le bâtard, semble ne pas maîtriser l'Art pourtant puissant, se laisse aller à la pratique du Vif, jugé comme une déviance monstrueuse. C'est ainsi que le facétieux Oeil-de-Nuit, sauvé d'une mort certaine, entre dans la danse.
Au milieu des intrigues de cour et des menaces d'invasion, ce tome laisse un peu de place au romantisme. Les femmes, Molly comme Kettricken, ne sont pas des faire-valoir et affirment leur personnalité, pour mon plus grand plaisir. Toutefois, ce récit m'a paru atrocement nonchalant. Il n'en aurait pas fallu beaucoup plus pour que je finisse par m'ennuyer. Heureusement, même si tous les personnages paraissent se tourner autour sans concrétiser grand-chose, j'ai senti, comme au théâtre, la mise en place d'un décor pour la scène suivante que j'espère plus dynamique. Je vais la découvrir sans tarder, car je ne saurais rester privée de ma soif d'aventures !
Sortir de sa zone de confort est souvent surprenant. Il faut dire que je ne suis généralement pas sensible à la magie, le romantisme et tout le toutim. Seulement, quand l'épopée aventureuse et la belle plume d'une autrice s'en mêlent, je reconnais humblement que le mélange est attrayant, voire captivant !
Ce deuxième tome, excessivement lent, est plus tourné vers l'introspection de notre héros que vers l'action. Cependant, le récit est jalonné de situations nouvelles. Fitz, le bâtard, semble ne pas maîtriser l'Art pourtant puissant, se laisse aller à la pratique du Vif, jugé comme une déviance monstrueuse. C'est ainsi que le facétieux Oeil-de-Nuit, sauvé d'une mort certaine, entre dans la danse.
Au milieu des intrigues de cour et des menaces d'invasion, ce tome laisse un peu de place au romantisme. Les femmes, Molly comme Kettricken, ne sont pas des faire-valoir et affirment leur personnalité, pour mon plus grand plaisir. Toutefois, ce récit m'a paru atrocement nonchalant. Il n'en aurait pas fallu beaucoup plus pour que je finisse par m'ennuyer. Heureusement, même si tous les personnages paraissent se tourner autour sans concrétiser grand-chose, j'ai senti, comme au théâtre, la mise en place d'un décor pour la scène suivante que j'espère plus dynamique. Je vais la découvrir sans tarder, car je ne saurais rester privée de ma soif d'aventures !
Sortir de sa zone de confort est souvent surprenant. Il faut dire que je ne suis généralement pas sensible à la magie, le romantisme et tout le toutim. Seulement, quand l'épopée aventureuse et la belle plume d'une autrice s'en mêlent, je reconnais humblement que le mélange est attrayant, voire captivant !
