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Critique de aurorepapote
Un tome plus que vite lu (moins de deux jours) tellement j'avais soif de connaitre la suite à la fin du tome 4.
Encore une fois le découpage français nous offre un tome en demi-teinte car l'action à proprement parlée ne se situe pas dans celui-ci mais finalement j'enchaine tellement les tomes que j'ai l'impression de ne lire pratiquement qu'un seul et même pavé découpé en "grandes parties" donc cela ne me dérange pas plus que ça de lire un tome plus "explicatif", plus dans l'ancrage d'un environnement, de tensions, d'approfondissements de personnages.
On suit ici les "retrouvailles" de notre Fitz avec une partie de ses amis du début et le moins que l'on puisse dire c'est que notre Fitz sera un peu refroidi (voir glacé) mais il est tellement naïf et Robin Hobb rend tellement humains ses personnages (chacun pour sa tronche, point barre ou du moins chacun pour ses idéaux en premier) que c'en est prévisible même si on aurait voulu quelque chose de plus romanesque et épique. Mais justement le style de Robin Hobb n'est pas de nous livrer de la fantasy avec un héros tout beau tout propre. Non loin de là. Donc à nous d'adhérer ou non à Fitz héros malgré lui.
Dans ce tome, le petit groupe retrouvé part à l'assaut des royaumes inconnus à la recherche de Vérité et nous entraine à sa suite dans des paysages froids et inconnus remplis de l'Art sous une forme complétement nouvelle pour les personnages, comme pour les lecteurs. C'est intéressant mais ça me passionne moins que le Vif que je préfère.
Allez c'est parti pour le tome 6, dernier de cette première époque de l'Assassin Royal.
Encore une fois le découpage français nous offre un tome en demi-teinte car l'action à proprement parlée ne se situe pas dans celui-ci mais finalement j'enchaine tellement les tomes que j'ai l'impression de ne lire pratiquement qu'un seul et même pavé découpé en "grandes parties" donc cela ne me dérange pas plus que ça de lire un tome plus "explicatif", plus dans l'ancrage d'un environnement, de tensions, d'approfondissements de personnages.
On suit ici les "retrouvailles" de notre Fitz avec une partie de ses amis du début et le moins que l'on puisse dire c'est que notre Fitz sera un peu refroidi (voir glacé) mais il est tellement naïf et Robin Hobb rend tellement humains ses personnages (chacun pour sa tronche, point barre ou du moins chacun pour ses idéaux en premier) que c'en est prévisible même si on aurait voulu quelque chose de plus romanesque et épique. Mais justement le style de Robin Hobb n'est pas de nous livrer de la fantasy avec un héros tout beau tout propre. Non loin de là. Donc à nous d'adhérer ou non à Fitz héros malgré lui.
Dans ce tome, le petit groupe retrouvé part à l'assaut des royaumes inconnus à la recherche de Vérité et nous entraine à sa suite dans des paysages froids et inconnus remplis de l'Art sous une forme complétement nouvelle pour les personnages, comme pour les lecteurs. C'est intéressant mais ça me passionne moins que le Vif que je préfère.
Allez c'est parti pour le tome 6, dernier de cette première époque de l'Assassin Royal.
