Ralala, ce Ryo Saeba, on ne le fera pas. Il va même jusqu'à draguer une jeune veuve directement sur la tombe de son époux. Et quand il s'avère que la jeune et jolie demoiselle est donc l'héritière d'un clan de yakuzas, il n'écoute que son courage (hum) et décide de la protéger, jour et nuit! Les pauvres membres du clan ont bien du mal, eux, à protéger leur chère maîtresse de l'étalon de Shinjuku! Il y a pas à dire, City Hunter, c'est que du plaisir à chaque fois. Je me suis quand même fait la réflexion que les femmes se ressemblaient toutes énormément... Alors que les portraits des hommes sont beaucoup plus diversifiés. J'adore aussi la manière dont on passe de l'humour assez lourdingue à des passages tout en émotion, qui ne tombe jamais dans le dégoulinant.. Tout est parfaitement bien dosé et l'on passe de l'un à l'autre sans aucun problème et tout en finesse. du grand art quand même.
Commenter  J’apprécie         10