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Critique de Bouvy
Tatsuhiko et Yuri, une camarade de classe ont le béguin. Hélas, le trou dans la cloison qui sépare son appartement et celui de sa voisine Emiru l'empêche d'aspirer à une certaine intimité. Il travaille dans une superette pour pouvoir payer une chambre d'hôtel et passer ses nuits avec sa nouvelle amie. Dans le même temps, sa jolie et coquine voisine s'amuse à allumer notre héros. Tatsuhiko se fait violence pour être fidèle à son nouvel amour mais le hasard complique les choses et met sur son chemin quelques belles et séduisantes rencontres. Que ce soit sa professeure de dessin, sa collègue de travail, toutes asseyant de le séduire contre son gré, ...
Pour ce deuxième épisode, les dessins sont de plus en plus fripons sans tomber dans la trivialité et la pornographie. L'érotisme se taille la part belle de l'histoire. Quand au scénario, il est beaucoup plus osé que les illustrations. L'histoire se compose de multiples historiettes à rebondissement. Parfois, on frise le vaudeville, parfois, le scénario rebondit dans tous les sens, comme une balle en caoutchouc. le sujet étant assez léger, on ne risque pas de s'y perdre. Les personnages, surtout Emiru, la jolie et voyeuse voisine, gagnent en caractère. Il y a aussi plus de sentiment amoureux que dans le premier tome. L'humour est omni présent, ce qui empêche le scénario de devenir ennuyeux et donne un ton agréable à cette saga.
Concernant la version numérique de Kindle, le problème rencontré sur la tablette avec le premier épisode est récurant avec ce deuxième tome. Heureusement qu'il fonctionne sur Pc mais côté déplacement, ça handicape fortement la liberté de lire ce manga où l'on veut. Ca me coupe l'envie de poursuivre cette série que je trouve amusante et joliment érotique. Dommage, ... Je crois que je vais tenter de changer mes habitudes et tenter de télécharger l'épisode suivant sur Kobo, les versions numériques sont au même prix sur le site de la Fnac que sur Amazon. Pfff, encore un nouveau compte et un nouveau mot de passe, mais bon, ...
Pour ce deuxième épisode, les dessins sont de plus en plus fripons sans tomber dans la trivialité et la pornographie. L'érotisme se taille la part belle de l'histoire. Quand au scénario, il est beaucoup plus osé que les illustrations. L'histoire se compose de multiples historiettes à rebondissement. Parfois, on frise le vaudeville, parfois, le scénario rebondit dans tous les sens, comme une balle en caoutchouc. le sujet étant assez léger, on ne risque pas de s'y perdre. Les personnages, surtout Emiru, la jolie et voyeuse voisine, gagnent en caractère. Il y a aussi plus de sentiment amoureux que dans le premier tome. L'humour est omni présent, ce qui empêche le scénario de devenir ennuyeux et donne un ton agréable à cette saga.
Concernant la version numérique de Kindle, le problème rencontré sur la tablette avec le premier épisode est récurant avec ce deuxième tome. Heureusement qu'il fonctionne sur Pc mais côté déplacement, ça handicape fortement la liberté de lire ce manga où l'on veut. Ca me coupe l'envie de poursuivre cette série que je trouve amusante et joliment érotique. Dommage, ... Je crois que je vais tenter de changer mes habitudes et tenter de télécharger l'épisode suivant sur Kobo, les versions numériques sont au même prix sur le site de la Fnac que sur Amazon. Pfff, encore un nouveau compte et un nouveau mot de passe, mais bon, ...
