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Critique de lechristophe
Lorsque l'on se réfère habituellement à l'espionnage pendant la guerre froide on pense aussitôt aux romans de John le Carre, aux espions qui agissent dans l'ombre de ruelles de villes d'Europe de l'Est... mais on omet toujours l'espionnage naval. C'est à dire l'espionnage réalisé par les moyens humains et technologiques des marines des deux camps en présence. Cela va de l'observation de l'activité portuaire ou des chantiers navals à l'écoute électronique en passant par la pénétration indétectable du territoire ennemi grâce aux sous-marins devenus au fil des décennies de plus en plus furtifs, propulsés par des réacteurs nucléaires et lanceurs de missiles balistiques intercontinentaux.
Cet ouvrage raconte cette guerre secrète que se sont livrées, depuis les années 40 jusqu'à la fin des années 80, les flottes des États-Unis et de l'OTAN opposées à celles de l'URSS et des pays du pacte de Varsovie.
J'ai ainsi appris une foultitude de faits sur la crise des missiles à Cuba, la guerre du Vietnam, ou les nombreux naufrages de sous-marins soviétiques. J'ai surtout découvert que ce n'était pas en 1962 que nous avions été le plus proche de la troisième guerre mondiale mais plutôt au cours des années 80.
Venons-en maintenant aux points négatifs. Il est quand même étonnant que des éditeurs fassent paraître un livre non relu : il est truffé de répétition de phrases ou de paragraphes (exemple : "Staline lui-même décida d'accorder la priorité aux missiles. Et c'est Staline lui-même qui accorda la priorité aux missiles.") et de mots auxquels il manque des lettres.
Mon autre grincement de dents concerne le seizième et avant-dernier chapitre. Il fait état des nombreux témoignages de marins et de pilotes sur les OVNIs en sous-entendant que la Terre est observée par les extra-terrestres. Ce qui me gêne c'est que ces extra-terrestres ne seraient intéressés que par les engins de guerre (avions, navires, sous-marins) et les missiles terriens !! Ensuite, les auteurs précisent quand même que des objets ayant la forme de soucoupes volantes ont été mis au point par les Occidentaux et sûrement également par les Soviétiques pendant la guerre froide (le cahier photo central en fournit une photographie).
Cet ouvrage est pour tous ceux qui s'intéresseraient à l'espionnage au cours de la seconde moitié du XXème siècle et qui ne seraient pas rebutés par les termes rébarbatifs concernant les différentes classes de navires.
Cet ouvrage raconte cette guerre secrète que se sont livrées, depuis les années 40 jusqu'à la fin des années 80, les flottes des États-Unis et de l'OTAN opposées à celles de l'URSS et des pays du pacte de Varsovie.
J'ai ainsi appris une foultitude de faits sur la crise des missiles à Cuba, la guerre du Vietnam, ou les nombreux naufrages de sous-marins soviétiques. J'ai surtout découvert que ce n'était pas en 1962 que nous avions été le plus proche de la troisième guerre mondiale mais plutôt au cours des années 80.
Venons-en maintenant aux points négatifs. Il est quand même étonnant que des éditeurs fassent paraître un livre non relu : il est truffé de répétition de phrases ou de paragraphes (exemple : "Staline lui-même décida d'accorder la priorité aux missiles. Et c'est Staline lui-même qui accorda la priorité aux missiles.") et de mots auxquels il manque des lettres.
Mon autre grincement de dents concerne le seizième et avant-dernier chapitre. Il fait état des nombreux témoignages de marins et de pilotes sur les OVNIs en sous-entendant que la Terre est observée par les extra-terrestres. Ce qui me gêne c'est que ces extra-terrestres ne seraient intéressés que par les engins de guerre (avions, navires, sous-marins) et les missiles terriens !! Ensuite, les auteurs précisent quand même que des objets ayant la forme de soucoupes volantes ont été mis au point par les Occidentaux et sûrement également par les Soviétiques pendant la guerre froide (le cahier photo central en fournit une photographie).
Cet ouvrage est pour tous ceux qui s'intéresseraient à l'espionnage au cours de la seconde moitié du XXème siècle et qui ne seraient pas rebutés par les termes rébarbatifs concernant les différentes classes de navires.
