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Critique de Maphil
Auteur d'un premier roman, Jean-Paul N vient en signer des exemplaires dans une librairie de sa ville natale, Besançon. Il y retrouve un ancien professeur, des camarades de classe mais surtout la première fille qu'il y a aimée, Marianne, aujourd'hui mère de famille. C'est chez elle en l'absence de son mari qu'il achèvera la journée, troublé par des souvenirs vieux de vingt ans. Sur ces arguments, riche de ressources, l'auteur a écrit un premier roman qui en vaut bien d'autres. Mais, soucieux de le doter d'une originalité digne d'attention il s'est abstenu de le ponctuer. Il s'ensuit que le roman est d'une lecture agaçante.
