JMG.
Le Clézio nous fait partager le portrait de sa mère, Ethel, sur une période précise (de la petite fille à la jeune femme).
Que de sensibilité et finesse dans l'écriture ! Chaque mot à sa place sur du velours ! Les phrases se déroulent comme à l'infini et hélas se terminent à la 207ème page ...
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