Le règne d'akhenaton et les suites de sa réforme religieuse sont sans aucun doute une source d'inspiration digne d'un roman. LE personnage d'Horemheb est bien campé par
Christian Jacq. Ce dernier choisit de diaboliser le souverain hérétique et sa reine, mais c'est sans doute le sens politique de l'époque puisque son règne a fait l'objet d'une tentative d'effacement de la part de ses successeurs. L'histoire est pas mal menée. Des raccourcis dans le notes en bas de page sont un peu osés : dire que les hittites sont les ancêtres de turcs c'est quand même très à la serpe... La scène du retournement du conseil des 9 par le rand sage d'Héliopolis est assez invraisemblable d'autant que l'on ne nous explique pas comment il a fait. Une touche épique supplémentaire n'aurait pas été de refus.
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