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Critique de chrysalde
Je suis une fille de la campagne, j'ai toujours vécu (par épisode) entourée de poules, lapins, cochons d'inde, hérisson, chats, chiens …
J'ai apprécié lire l'autrice nous parler de ses rencontres avec les animaux, ses dialogues singuliers entre eux et elle. Elle ne manque pas d'audace ni d'abnégation pour leur venir en aide. Je me suis identifiée aux personnages mis en scène, pour certains cela a été très facile, j'aime beaucoup me promener en campagne de nombreuses heures avec mon chien, l'observer le nez en l'air, prendre le temps de ne rien faire d'autre que de vivre lentement.
Inutile de dire qu'il y a toujours une gamelle de croquettes prête pour les chats de passage, ou les hérissons affamés. Nous avons sauvé de nombreuses souris, et autres gerboises des griffes et des dents de nos chattes qui les chassaient avec plaisir, nous les ramenaient en offrande, parfois croquées mais souvent encore palpitantes.
J'ai trouvé certaines nouvelles un peu excessives :
elle s'arrête sur le bord de la route pour ramasser un pigeon, elle ramène un « animal » qu'elle ne nomme jamais mais que j'ai pris pour un renard …
D'ailleurs, souvent elle écrit que E, ou M ne valide pas le fait qu'elle s'arrête, qu'elle récupère l'animal …
Certaines nouvelles m'ont carrément mise mal à l'aise, je ne suis pas fan du tout des oiseaux, nous avons à la maison soigné des canetons qui étaient trop petits pour aller dans le poulailler par le froid du printemps, je me souviens du tapage et de la saleté qu'ils faisaient dans la cuisine …
La lire m'a plongé dans mes souvenirs d'enfance, parfois avec plaisir, parfois avec effroi mais en tout cas jamais avec indifférence.
Une rencontre intéressante avec une plume compatriote.
J'ai apprécié lire l'autrice nous parler de ses rencontres avec les animaux, ses dialogues singuliers entre eux et elle. Elle ne manque pas d'audace ni d'abnégation pour leur venir en aide. Je me suis identifiée aux personnages mis en scène, pour certains cela a été très facile, j'aime beaucoup me promener en campagne de nombreuses heures avec mon chien, l'observer le nez en l'air, prendre le temps de ne rien faire d'autre que de vivre lentement.
Inutile de dire qu'il y a toujours une gamelle de croquettes prête pour les chats de passage, ou les hérissons affamés. Nous avons sauvé de nombreuses souris, et autres gerboises des griffes et des dents de nos chattes qui les chassaient avec plaisir, nous les ramenaient en offrande, parfois croquées mais souvent encore palpitantes.
J'ai trouvé certaines nouvelles un peu excessives :
elle s'arrête sur le bord de la route pour ramasser un pigeon, elle ramène un « animal » qu'elle ne nomme jamais mais que j'ai pris pour un renard …
D'ailleurs, souvent elle écrit que E, ou M ne valide pas le fait qu'elle s'arrête, qu'elle récupère l'animal …
Certaines nouvelles m'ont carrément mise mal à l'aise, je ne suis pas fan du tout des oiseaux, nous avons à la maison soigné des canetons qui étaient trop petits pour aller dans le poulailler par le froid du printemps, je me souviens du tapage et de la saleté qu'ils faisaient dans la cuisine …
La lire m'a plongé dans mes souvenirs d'enfance, parfois avec plaisir, parfois avec effroi mais en tout cas jamais avec indifférence.
Une rencontre intéressante avec une plume compatriote.
