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Critique de tchouk-tchouk-nougat
Au cours d'une bataille, Oboron criblé de flèches revient à la vie et se souviens de cette douleur et cette rage qui l'ont envahi lors du combat. Il est en réalité un berserker, un des secrets les mieux gardés du peuple nain.
Encore un bon tome pour la série nain qui lève un pan du voile qu'on avait pu observer dans certains opus précédents.
Oboron est un nain sympathique. Curieusement pacifique pour un berserker. Sa famille passe avant tout et il est prêt à bien des sacrifices pour eux.
J'ai bien aimé également la relation entre Oboron et Ca'at l'esclave gobelin. Un joli message de respect et d'amitié entre des peuples différents qui se voue une haine ancestrale.
Le dessin est sympathique, coloré, dynamique. Rien à redire bien qu'un peu impersonnel.
Encore un bon tome pour la série nain qui lève un pan du voile qu'on avait pu observer dans certains opus précédents.
Oboron est un nain sympathique. Curieusement pacifique pour un berserker. Sa famille passe avant tout et il est prêt à bien des sacrifices pour eux.
J'ai bien aimé également la relation entre Oboron et Ca'at l'esclave gobelin. Un joli message de respect et d'amitié entre des peuples différents qui se voue une haine ancestrale.
Le dessin est sympathique, coloré, dynamique. Rien à redire bien qu'un peu impersonnel.
