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« voilà ce qu'on appelle la vie : vouloir du nouveau, se cramponner au familier. [...] Souvent, quand les gens restent dans une relation sans avenir ou une carrière végétative, c'est ça, leur véritable problème. C'est ce choix par défaut. Au fond, peu importe les enfants, la famille, l'argent, la prise de risques ou le jugement des autres : tout est question de survie.
la sécurité prime sur l'épanouissement. La prévisibilité est préférable à la joie, à l'amour, à la liberté et à l'accomplissement de nos rêves. »
Selon l'auteur, l'auto sabotage se manifeste quand on atteint presque son but, notre cerveau résistant à cet imminent changement d'habitudes, question de survie; de ce postulat de départ il propose sa méthode pour y remédier en égratignant au passage notre amour propre de lecteur procratino-mou-du-genou.
Toute l'originalité du livre tient au ton de l'auteur qui s'adresse à son lecteur en le tutoyant, avec bonhomie, dans un langage très familier. C'est donc plaisant à lire, mais pas toujours très sérieux.
Le problème c'est que les thèses de l'auteur sont très intrigantes mais ne reposent sur rien de vraiment concret, il n'y a ni exemples, ni témoignages, ni thèses de psy reconnus, ni réel fondement scientifique derrière ce qui m'apparaît comme une théorie personnelle exposée avec entrain à un bon copain déprimé.
Au final, ça donne un livre sympathique et drôle, pas mal si on a besoin d'un peu de coaching façon vieux pote qui t'explique pourquoi il faudrait vraiment que tu te sorte les mains des poches, mais il m'a quand même manqué un peu de profondeur et des explications plus étayées pour sortir du format « conseil de comptoir », marrant mais un peu léger.
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Je remercie tout de même l'auteur pour son enthousiasme communicatif et les éditions Harper Collins pour ce partenariat.
Critique de musaraneus
« voilà ce qu'on appelle la vie : vouloir du nouveau, se cramponner au familier. [...] Souvent, quand les gens restent dans une relation sans avenir ou une carrière végétative, c'est ça, leur véritable problème. C'est ce choix par défaut. Au fond, peu importe les enfants, la famille, l'argent, la prise de risques ou le jugement des autres : tout est question de survie.
la sécurité prime sur l'épanouissement. La prévisibilité est préférable à la joie, à l'amour, à la liberté et à l'accomplissement de nos rêves. »
Selon l'auteur, l'auto sabotage se manifeste quand on atteint presque son but, notre cerveau résistant à cet imminent changement d'habitudes, question de survie; de ce postulat de départ il propose sa méthode pour y remédier en égratignant au passage notre amour propre de lecteur procratino-mou-du-genou.
Toute l'originalité du livre tient au ton de l'auteur qui s'adresse à son lecteur en le tutoyant, avec bonhomie, dans un langage très familier. C'est donc plaisant à lire, mais pas toujours très sérieux.
Le problème c'est que les thèses de l'auteur sont très intrigantes mais ne reposent sur rien de vraiment concret, il n'y a ni exemples, ni témoignages, ni thèses de psy reconnus, ni réel fondement scientifique derrière ce qui m'apparaît comme une théorie personnelle exposée avec entrain à un bon copain déprimé.
Au final, ça donne un livre sympathique et drôle, pas mal si on a besoin d'un peu de coaching façon vieux pote qui t'explique pourquoi il faudrait vraiment que tu te sorte les mains des poches, mais il m'a quand même manqué un peu de profondeur et des explications plus étayées pour sortir du format « conseil de comptoir », marrant mais un peu léger.
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Je remercie tout de même l'auteur pour son enthousiasme communicatif et les éditions Harper Collins pour ce partenariat.
