>
Critique de Chrystaalle
Un livre qui se veut une romance érotique mais que pour ma part j'ai trouvé hilarant, non pas que livre soit drôle mais parce que les personnes cumulent clichés, caricatures et ont une vraie profondeur de pensée philosophique ( nan je blague).
Monsieur est éditeur, il dirige une maison d'édition en pleine expansion et Madame est une toute jeune diplômée vierge de 22 ans. Ils se croisent dans une boite BDSM, ou Madame vient juste faire un saut pour récupérer ses copines bourrées, Monsieur vient lui plus prosaïquement tirer son coup. Ils se revoient deux jours après car dans une ville comme New York Madame a postulé justement dans la boite d'éditions de Monsieur. (le monde est petit ).
Déjà ça commence mal ... Ecoutons Monsieur qui se dit " Il était comique qu'elle pense que j'abandonnerais si facilement. J'étais sûr qu'elle ne voulait pas vraiment que je renonce. Elle voulait que je la cherche. Elle voulait que je la poursuive. Même si elle n'en avait pas conscience, je le savais et c'était la seule chose qui importait. "
juste une info ça mon gars cela s'appelle du harcèlement ...
Ensuite il l'invite à boire un café : " Mes hanches bougeaient imperceptiblement d'avant en arrière, mues par le besoin primitif de la remplir. "... oui oui au moment où il l'invite à boire un café... et la naïve oie blanche qui ne remarque là rien d'étrange le suit chez lui...
Pour un éditeur ultra exigent il a un curieux vocabulaire :
" leur promotion cannibalisaient tout mon temps", Cannibaliser verbe qui selon le Larousse veut dire : concurrencer un autre produit de la même entreprise, lui prendre des parts de marché.
Appele-t-on ces propos du machisme ou de la goujaterie :"Il est vrai que je fréquentais des femmes faciles qui cherchaient seulement un homme pour la nuit et avec qui il était difficile d'avoir une discussion intéressante, manque de cervelle oblige." ? Oui c'est une des explications possibles, l'autre étant que lui même n'ayant pas une personnalité détonante , malgré son physique de rêve il ne soit pas si stimulant... Une petite remise en question serait nécessaire peut être ...
Monsieur est capable d' actions passionnées mais improbables : "Il a saisi mon soutien-gorge et l'a tiré brutalement pour le faire passer au-dessus de ma tête. Puis il a fait subir le même sort à mon short et à ma culotte " ... Euh... là je sèche, non vraiment, désolée, je vois pas...
Quant à Madame elle brule de romantisme : "Dean était le genre d'homme dont toutes les filles rêvent, moi y compris. Il était propriétaire de l'entreprise qu'il dirigeait et de la vaste demeure où il vivait. Il avait de l'argent, mais il n'en faisait pas étalage. Dean était intelligent et mondain, et pourtant, il gardait la tête sur les épaules. "... oui oui ce sont les critères essentiels pour savoir si un homme peut être un compagnon. Comme quelqu'un a dit un jour " si a 50 ans tu n'as pas de ( montres hors de prix) tu as raté vie"...
Madame a également un vrai sens des proportions : " Il mesurait environ 1,82 m" , si c'est environ ... c'est surement à peu près...
Et est très bien élevée : "Ne voulant pas être impolie, je lui ai rendu son baiser. ", bah ma foi ... il faut surtout pas paraître mal élevée ...
Elle est aussi doté d'un grand sens pratique : " Je n'avais pas besoin d'avoir un look sexy pour bien faire mon travail. Et en plus, je serais plus à l'aise dans des tenues confortables. " ... surtout qu'elle est lectrice dans une maison d'édition.
Bref si je ne recommande pas cette lecture, elle m'a néanmoins fait bien rire.
Même si en poussant la réflexion plus loin je pourrais être agacée de cette vision de la femme qui est soit une fille facile libre service sans cervelle, soit une vierge naïve à la recherche du parfait mari , riche de préférence... Grr...
Monsieur est éditeur, il dirige une maison d'édition en pleine expansion et Madame est une toute jeune diplômée vierge de 22 ans. Ils se croisent dans une boite BDSM, ou Madame vient juste faire un saut pour récupérer ses copines bourrées, Monsieur vient lui plus prosaïquement tirer son coup. Ils se revoient deux jours après car dans une ville comme New York Madame a postulé justement dans la boite d'éditions de Monsieur. (le monde est petit ).
Déjà ça commence mal ... Ecoutons Monsieur qui se dit " Il était comique qu'elle pense que j'abandonnerais si facilement. J'étais sûr qu'elle ne voulait pas vraiment que je renonce. Elle voulait que je la cherche. Elle voulait que je la poursuive. Même si elle n'en avait pas conscience, je le savais et c'était la seule chose qui importait. "
juste une info ça mon gars cela s'appelle du harcèlement ...
Ensuite il l'invite à boire un café : " Mes hanches bougeaient imperceptiblement d'avant en arrière, mues par le besoin primitif de la remplir. "... oui oui au moment où il l'invite à boire un café... et la naïve oie blanche qui ne remarque là rien d'étrange le suit chez lui...
Pour un éditeur ultra exigent il a un curieux vocabulaire :
" leur promotion cannibalisaient tout mon temps", Cannibaliser verbe qui selon le Larousse veut dire : concurrencer un autre produit de la même entreprise, lui prendre des parts de marché.
Appele-t-on ces propos du machisme ou de la goujaterie :"Il est vrai que je fréquentais des femmes faciles qui cherchaient seulement un homme pour la nuit et avec qui il était difficile d'avoir une discussion intéressante, manque de cervelle oblige." ? Oui c'est une des explications possibles, l'autre étant que lui même n'ayant pas une personnalité détonante , malgré son physique de rêve il ne soit pas si stimulant... Une petite remise en question serait nécessaire peut être ...
Monsieur est capable d' actions passionnées mais improbables : "Il a saisi mon soutien-gorge et l'a tiré brutalement pour le faire passer au-dessus de ma tête. Puis il a fait subir le même sort à mon short et à ma culotte " ... Euh... là je sèche, non vraiment, désolée, je vois pas...
Quant à Madame elle brule de romantisme : "Dean était le genre d'homme dont toutes les filles rêvent, moi y compris. Il était propriétaire de l'entreprise qu'il dirigeait et de la vaste demeure où il vivait. Il avait de l'argent, mais il n'en faisait pas étalage. Dean était intelligent et mondain, et pourtant, il gardait la tête sur les épaules. "... oui oui ce sont les critères essentiels pour savoir si un homme peut être un compagnon. Comme quelqu'un a dit un jour " si a 50 ans tu n'as pas de ( montres hors de prix) tu as raté vie"...
Madame a également un vrai sens des proportions : " Il mesurait environ 1,82 m" , si c'est environ ... c'est surement à peu près...
Et est très bien élevée : "Ne voulant pas être impolie, je lui ai rendu son baiser. ", bah ma foi ... il faut surtout pas paraître mal élevée ...
Elle est aussi doté d'un grand sens pratique : " Je n'avais pas besoin d'avoir un look sexy pour bien faire mon travail. Et en plus, je serais plus à l'aise dans des tenues confortables. " ... surtout qu'elle est lectrice dans une maison d'édition.
Bref si je ne recommande pas cette lecture, elle m'a néanmoins fait bien rire.
Même si en poussant la réflexion plus loin je pourrais être agacée de cette vision de la femme qui est soit une fille facile libre service sans cervelle, soit une vierge naïve à la recherche du parfait mari , riche de préférence... Grr...
Acheter ce livre sur
