Le texte démarre à 100 à l'heure, au rythme du chauffeur de taxi qui conduit le narrateur de l'aéroport à Dakar et j'en ai aimé les évocations, les couleurs… Prometteur ! Quelques pages plus loin la magie n'est déjà qu'un souvenir. Ça ne marchera pas entre
Tristan Jordis et moi et il n'y aura plus rien à faire. Je ne connais pas l'auteur mais j'ai vite compris qu'il s'agit d'une réécriture, d'une suite, d'une contextualisation de ses précédents écrits, appelons cela un fourzitou assaisonné par quelques touches colonialistes qui m'ont plus que gênée. J'avoue avoir abandonné ce roman au bout de 300 pages (sur 500 - n'en déplaise à la Fnac) et je n'en garderai aucun souvenir, si ce ne sont les quelques bons mots échangés avec ma compagne d'infortune @hanyrhauz
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