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Critique de LivresdAvril
Mon loulou de 9 ans s'intéresse beaucoup à la Seconde Guerre mondiale, et particulièrement à la Résistance. Aussi quand nous sommes tombés sur cette BD à la bibliothèque, nous n'avons pas hésité.
Elle propose le point de vue de François, Eusèbe et Lisa, trois enfants de treize ans habitant en zone occupée. le récit commence au tout début de cette période de cohabitation, l'armistice venant d'être signée.
Nous avons aimé les différentes réactions de l'entourage de François, crédibles, qui varient entre le rejet de Pétain, le "moindre mal" soulagé que le conflit armé cesse (majoritaire) et l'acceptation de l'idéologie nazie. La nuance est de mise : on trouve des soldats allemands cruels et d'autres eux aussi victimes de la guerre. C'est appréciable.
Cette BD nous a beaucoup fait penser au "Commando des pièces-à-trou", roman autobiographique du poète Pierre Coran, que nous avons adoré. On y retrouve un récit de cette période dramatique à hauteur d'enfant, ces "petits" actes de bravoure, avec les moyens du bord, qui ont posé les bases de la Résistance.
À noter : les quelques pages documentaires, concises mais bien faites à la fin de l'album.
Elle propose le point de vue de François, Eusèbe et Lisa, trois enfants de treize ans habitant en zone occupée. le récit commence au tout début de cette période de cohabitation, l'armistice venant d'être signée.
Nous avons aimé les différentes réactions de l'entourage de François, crédibles, qui varient entre le rejet de Pétain, le "moindre mal" soulagé que le conflit armé cesse (majoritaire) et l'acceptation de l'idéologie nazie. La nuance est de mise : on trouve des soldats allemands cruels et d'autres eux aussi victimes de la guerre. C'est appréciable.
Cette BD nous a beaucoup fait penser au "Commando des pièces-à-trou", roman autobiographique du poète Pierre Coran, que nous avons adoré. On y retrouve un récit de cette période dramatique à hauteur d'enfant, ces "petits" actes de bravoure, avec les moyens du bord, qui ont posé les bases de la Résistance.
À noter : les quelques pages documentaires, concises mais bien faites à la fin de l'album.
