Dès 1996,
Sarah Kane s'interrogeait sur les liens entre sexualité et pouvoir. Elle livre dans cette pièce une critique politique acerbe qui fait écho au mouvement #metoo apparu 10 à 20 ans plus tard.
Elle questionne la masculinité qui ne s'épanoui que dans les extrêmes et bascule d'une sexualité sans visage à la violence la plus crue.
Une pièce sans concessions pour public averti.
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