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Critique de springer67


Sans rien déflorer puisque tout est écrit en 4e de couverture, Tsukiko tombe doucement (mais alors très doucement…) de son ancien prof qu'elle nomme le maître dans tous le roman. Mais avant ça, nous est décrit par le menu leurs différentes rencontres, principalement chez Satoru le tenancier d'une taverne où les deux protagonistes vont régulièrement se retrouver autour d'un verre de saké. D'ailleurs à se demander s'ils ne sont pas un peu alcooliques puisque cette occupation est des plus récurrentes dans ce roman. Sinon, ben pas bien grand-chose d'autre pour être honnête.  

Vous avez pu comprendre que je n'ai pas accroché, c'est un peu le style de littérature japonaise quelque peu "sirupeuse" ou pour être un peu plus ouverte d'esprit plus poétique avec lequel j'ai vraiment beaucoup de mal, c'est lent, il ne se passe pas grand-chose, je m'y ennuie.  

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