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Critique de Santif
C'est avec une certaine sévérité, bien loin de mes habitudes, que je vais porter un jugement sur ce livre : c'est écrit avec les pieds !
J'en suis désolé pour l'auteur, mais il faut rester lucide. Quand même une des rares fois où j'ai envisagé, à de multiples reprises, l'abandon de la lecture avant la fin, tant ça pique.
Je n'ai jamais (ou si peu) posé les yeux sur un contenu aussi mal rédigé. Un style autant qu'un verbiage digne d'un collégien - de première année, pas plus ! - sans compter une syntaxe lamentable.
J'en veux pour preuve la seconde ligne rencontrée, chapitre un, page un !
"Il l'a referma aussitôt et regarda autour de lui pour s'assurer que personne ne l'ait vu".
On peut dire que ça commence fort. de prime abord, je me suis fait la réflexion que louper une coquille en début de roman ça fait désordre. Sauf que, malheureusement, on découvre que le reste est à l'avenant, au fil d'un texte qui n'a subi ni relecture, ni correction, ni regard pragmatique. Et que dire d'une absence remarquée de ponctuation, ce qui n'arrange rien.
En contrepartie, le pitch est porteur, quand on arrive à faire abstraction des ravages de cette plume malhabile. Certes, on note de multiples inspirations transverses, entre le côté obscur de la force et une célèbre histoire d'anneaux. Mais on y trouve aussi de bonnes idées, étayées par une action continue. Un heureux mélange, qui permet d'outrepasser la pauvreté d'un vocabulaire somme toute enfantin. On croise des personnages intéressants, plongés dans un univers riche et prometteur. Mais toujours et encore cette écriture qui vient gâcher l'immersion, et c'est bien dommageable.
De cette lecture, il en ressort une certitude : jamais, au grand jamais, je n'irai décrypter le second tome.
J'en suis désolé pour l'auteur, mais il faut rester lucide. Quand même une des rares fois où j'ai envisagé, à de multiples reprises, l'abandon de la lecture avant la fin, tant ça pique.
Je n'ai jamais (ou si peu) posé les yeux sur un contenu aussi mal rédigé. Un style autant qu'un verbiage digne d'un collégien - de première année, pas plus ! - sans compter une syntaxe lamentable.
J'en veux pour preuve la seconde ligne rencontrée, chapitre un, page un !
"Il l'a referma aussitôt et regarda autour de lui pour s'assurer que personne ne l'ait vu".
On peut dire que ça commence fort. de prime abord, je me suis fait la réflexion que louper une coquille en début de roman ça fait désordre. Sauf que, malheureusement, on découvre que le reste est à l'avenant, au fil d'un texte qui n'a subi ni relecture, ni correction, ni regard pragmatique. Et que dire d'une absence remarquée de ponctuation, ce qui n'arrange rien.
En contrepartie, le pitch est porteur, quand on arrive à faire abstraction des ravages de cette plume malhabile. Certes, on note de multiples inspirations transverses, entre le côté obscur de la force et une célèbre histoire d'anneaux. Mais on y trouve aussi de bonnes idées, étayées par une action continue. Un heureux mélange, qui permet d'outrepasser la pauvreté d'un vocabulaire somme toute enfantin. On croise des personnages intéressants, plongés dans un univers riche et prometteur. Mais toujours et encore cette écriture qui vient gâcher l'immersion, et c'est bien dommageable.
De cette lecture, il en ressort une certitude : jamais, au grand jamais, je n'irai décrypter le second tome.
