Stark, tome 2 : Possède-moi

Se mettre à l’écart pour répondre au téléphone, ce n’est pas la même chose que dissimuler un secret. Et chaque coup de fil ne fait pas partie d’un immense complot destiné à cacher son passé ou quelque chose du genre.

Une dame se maîtrise toujours. Il ne faut jamais montrer que tu as été blessée. Sinon, tout le monde connaît tes faiblesses.

L’argent aide, mais ce n’est pas une garantie.

Tu es comme le tableaul. Un splendide spectacle érotique. Mais un tableau n’est pas de chair, sa beauté ne peut éprouver aucun plaisir.

Parfois, l’ignorance est un bienfait. Ou si ce n’est l’ignorance, le déni et la fuite…

Un empire entier exige son attention, et pourtant, en cet instant, je suis tout son univers.

Il n’y a pas de place dans ma vie pour l’imprévu. Tu ne l’as peut-être pas remarqué, mais j’ai besoin de tout contrôler.

Tout le monde ne peut pas avoir l’existence idyllique de certain milliardaire de notre connaissance.

Foncer n’est pas toujours la meilleure solution. Parfois, un peu de réflexion et de discrétion est bienvenu.

Comme c’était merveilleux de recevoir la lettre d’un amant, de l’ouvrir et de voir son cœur sur la page, dans son écriture ferme et solide. Il y a dans les textos et les mails une immédiateté qu’on ne peut nier, mais ils ne peuvent reproduire l’intimité d’une lettre.