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Critique de nanek


nanek
29 février 2024
Fêter ses soixante ans par un voyage solo en Ethiopie, le débuter dans le Tigré, à Axum , se fatiguer des routes cahoteuses et prendre l'avion pour atterrir à Lalibela.
Rencontrer un hôte, Guétou aiguisé au marchandage d'une guest house au confort sommaire.
C'est y rencontrer aussi du sacré, dans l'histoire de la construction de ses onze églises bâties dans le rocher par le Roi Lalibéla mort et ressuscité, qui aurait façonné l'Histoire de cette terre sainte au demeurant.
S'en suit les pérégrination d'un homme dans une contrée esseulée du monde qui se confronte au contes et mysticisme que lui renvoi le lieu, les hommes.
Il a le dessin en talent certain et le désir du mot en tentative poétique d'un désir solitaire ce Faranji, cet étrange blanc se concentrant dans sa pensée sous tchât, drogue locale qui resserre l'idée sans embrumer l'esprit, du moins à ce qu'il en dit.
On sent que tout peut s'accélérer là où chimère démocratie se juxtapose à une géopolitique chaotique. Il semble ou veut écrire l'ineffable et je me suis perdu à savoir où il voulait aller, m'emmener. Dès le début il me l'a peut-être montré ce monsieur Kerr , m'a prévenu. Je ne me suis pas entêté. Je continuerais quand bon me semblera. La lecture n'est pas tout le temps synonyme de perdition pour moi.
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