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Critique de La_bouquinerie_de_Mel
Un coup de coeur au coeur de Paris au XIXe siècle ! J'avais des appréhensions sur ce livre, la couverture ne me donnait pas du tout envie et les premières pages ne m'ont pas fait changer d'avis. Mais au bout d'une dizaine de pages, j'ai été transportée par l'univers de l'auteur. Je n'avais encore jamais lu de livres de cet auteur, mais il a une très bonne plume.
L'héroïne est une jeune fille aux moeurs libres dans le Paris du XIXe siècle. Elle se nomme Séraphine, c'est une peintre tentant de vivre de son art à Montmartre avec son colosse de chien, Lucifer. Son père, qui est médecin, a rencontré sa mère sur un marché, elle avait 17 ans et était fleuriste. Malheureusement, celle-ci est morte. Séraphine a hérité du talent d'artiste de son père et a décidé d'en vivre.
Elle laisse libre cours à sa passion qu'elle soit liée à la peinture ou qu'elle soit charnelle, elle a donc eu un nombre conséquent d'amants pour son âge. Mais seul deux d'entre eux l'on marqué, ce fut le coup de foudre. L'un d'eux est Arthur, il est devenu son ami le plus proche et son amant occasionnel. Mais c'est sur Gabriel, son deuxième amour, que se porte l'histoire. Séraphine ne cherche pas de relation sérieuse, elle ne cherche pas à s'engager. Ce qui convient très bien à Gabriel qui n'est pas homme à le faire. Il multiplie les aventures d'un soir dans le seul but d'en retirer du plaisir, l'indécence et la moral ne limitent pas ses actes. Séraphine n'est pas en reste à ce sujet, Elle possède des ardeurs assez mal perçue pour une femme au XIXe siècle.
Gabriel va entamer une relation avec Séraphine sous prétexte d'une commande de tableau. En réalité, le tableau va s'avérer plus important que l'on pourrait le penser. Quant à leur histoire, elle est compliquée, les sentiments effraient Gabriel qui s'éloigne pour se « soigner ». Tandis que Séraphine décline, elle ne parvient plus à continuer le tableau et sa santé mentale en pâtit.
C'est un roman érotique qui nous apprend beaucoup. Tout d'abord sur la peinture, l'auteur ajoute des titres d'oeuvres ou des noms d'artistes ce qui permet de découvrir l'univers de la peinture. Il nous apprend aussi énormément sur le Paris du XIXe siècle. C'est également une lecture qui apporte du plaisir, Séraphine, Gabriel et même Arthur sont des personnages attachants (bon peut-être pas Gabriel), et la romance est intéressante.
Je remercie Netgalley France et l'éditeur pour ce service presse !
Lien : https://lesdeuxartistes.word..
L'héroïne est une jeune fille aux moeurs libres dans le Paris du XIXe siècle. Elle se nomme Séraphine, c'est une peintre tentant de vivre de son art à Montmartre avec son colosse de chien, Lucifer. Son père, qui est médecin, a rencontré sa mère sur un marché, elle avait 17 ans et était fleuriste. Malheureusement, celle-ci est morte. Séraphine a hérité du talent d'artiste de son père et a décidé d'en vivre.
Elle laisse libre cours à sa passion qu'elle soit liée à la peinture ou qu'elle soit charnelle, elle a donc eu un nombre conséquent d'amants pour son âge. Mais seul deux d'entre eux l'on marqué, ce fut le coup de foudre. L'un d'eux est Arthur, il est devenu son ami le plus proche et son amant occasionnel. Mais c'est sur Gabriel, son deuxième amour, que se porte l'histoire. Séraphine ne cherche pas de relation sérieuse, elle ne cherche pas à s'engager. Ce qui convient très bien à Gabriel qui n'est pas homme à le faire. Il multiplie les aventures d'un soir dans le seul but d'en retirer du plaisir, l'indécence et la moral ne limitent pas ses actes. Séraphine n'est pas en reste à ce sujet, Elle possède des ardeurs assez mal perçue pour une femme au XIXe siècle.
Gabriel va entamer une relation avec Séraphine sous prétexte d'une commande de tableau. En réalité, le tableau va s'avérer plus important que l'on pourrait le penser. Quant à leur histoire, elle est compliquée, les sentiments effraient Gabriel qui s'éloigne pour se « soigner ». Tandis que Séraphine décline, elle ne parvient plus à continuer le tableau et sa santé mentale en pâtit.
C'est un roman érotique qui nous apprend beaucoup. Tout d'abord sur la peinture, l'auteur ajoute des titres d'oeuvres ou des noms d'artistes ce qui permet de découvrir l'univers de la peinture. Il nous apprend aussi énormément sur le Paris du XIXe siècle. C'est également une lecture qui apporte du plaisir, Séraphine, Gabriel et même Arthur sont des personnages attachants (bon peut-être pas Gabriel), et la romance est intéressante.
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