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Critique de JuEtLi
Le procès d'Elizabeth réunit pour la première fois les acteurs d'un drame épouvantable qui s'est produit un an auparavant.
Une famille d'origine Coréenne, les Yoo, propose à des malades atypiques un type de soin d'un nouveau genre: une ventilation d'oxygène pur diffusée dans un caisson hyperbare. Ce traitement d'un nouveau genre est sujet à diverses controverses souvent violentes car les malades sont en général des enfants diagnostiqués comme atteints d'un trouble autistique. Lors d'une de ces sessions, le caisson prend feu, tuant sur le coup un des enfants et une mère qui accompagnait le sien, et blessant trois autres personnes.
Devant la personnalité glaciale d'Elzabeth, accusée d'avoir provoqué volontairement l'incendie pour tuer son fils, les mensonges et les trahisons vont se succéder car personne ne n'a intérêt à dire la vérité…
L'histoire est très intéressante car elle sort des sentiers battus: il est question de médecine alternative, d'enfants atteints de trouble autistique, mais il est question surtout du quotidien des mères qui font face, seules, à ce drame familial sont décrits avec humanité, les moments de découragements, les émotions qu'elles traversent - honte, soulagement, culpabilité, envie… ce qui place souvent le déroulement du drame et du procès au second plan.
Dans l'ensemble, je dirai que j'ai plus été intéressée par la description de la vie quotidienne des mamans et de l'épouvantable liste des soins quotidiens qui doivent être un calvaire pour l'enfant et pour les parents - que pour le polar en lui-même.
Une famille d'origine Coréenne, les Yoo, propose à des malades atypiques un type de soin d'un nouveau genre: une ventilation d'oxygène pur diffusée dans un caisson hyperbare. Ce traitement d'un nouveau genre est sujet à diverses controverses souvent violentes car les malades sont en général des enfants diagnostiqués comme atteints d'un trouble autistique. Lors d'une de ces sessions, le caisson prend feu, tuant sur le coup un des enfants et une mère qui accompagnait le sien, et blessant trois autres personnes.
Devant la personnalité glaciale d'Elzabeth, accusée d'avoir provoqué volontairement l'incendie pour tuer son fils, les mensonges et les trahisons vont se succéder car personne ne n'a intérêt à dire la vérité…
L'histoire est très intéressante car elle sort des sentiers battus: il est question de médecine alternative, d'enfants atteints de trouble autistique, mais il est question surtout du quotidien des mères qui font face, seules, à ce drame familial sont décrits avec humanité, les moments de découragements, les émotions qu'elles traversent - honte, soulagement, culpabilité, envie… ce qui place souvent le déroulement du drame et du procès au second plan.
Dans l'ensemble, je dirai que j'ai plus été intéressée par la description de la vie quotidienne des mamans et de l'épouvantable liste des soins quotidiens qui doivent être un calvaire pour l'enfant et pour les parents - que pour le polar en lui-même.
