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Critique de BambiGrincheux
On passe donc au troisième tome des aventures de Gotrek et Felix, et on se faufile à coup de hachoir vers le boss suivant.
Comment ne pas penser jeu de role sur du warhammer ? Mais plus étonnant : comment ne pas voir en gotrek et felix deux personnages de shonen ?
On va aller tabasser des ennemis de plus en plus fort, jusqu'à se retrouver à la frontière de la mort et être sauvé par un pouvoir deus ex machinien qui lance des éclairs et puise dans la colère et la volonté.
L'univers se découvre petit à petit, et quelques belles scènes se proposent à nos yeux, notamment la découverte du nouveau véhicule nain ou de citadelles oubliées.
On voit bien l'évolution de felix bien que gotrek semble de plus en plus n'être qu'un bourrin à la hache absent hors des scènes de massacre de plus en plus répétitives, exception faite du combat de boss concluant cette aventure.
On reste dans du pulp sans grande envergure, et malgré certains passages se permettant quelques frissons de violence, le goût de déjà vu et les coquilles parsemées comme du parmesan sur une tartine de Nutella trop chargée ne m'emmènera pas jusqu'au tome suivant.
Comment ne pas penser jeu de role sur du warhammer ? Mais plus étonnant : comment ne pas voir en gotrek et felix deux personnages de shonen ?
On va aller tabasser des ennemis de plus en plus fort, jusqu'à se retrouver à la frontière de la mort et être sauvé par un pouvoir deus ex machinien qui lance des éclairs et puise dans la colère et la volonté.
L'univers se découvre petit à petit, et quelques belles scènes se proposent à nos yeux, notamment la découverte du nouveau véhicule nain ou de citadelles oubliées.
On voit bien l'évolution de felix bien que gotrek semble de plus en plus n'être qu'un bourrin à la hache absent hors des scènes de massacre de plus en plus répétitives, exception faite du combat de boss concluant cette aventure.
On reste dans du pulp sans grande envergure, et malgré certains passages se permettant quelques frissons de violence, le goût de déjà vu et les coquilles parsemées comme du parmesan sur une tartine de Nutella trop chargée ne m'emmènera pas jusqu'au tome suivant.
