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Critique de tibwalovesstory
Lecture du 3 juin 2022.
J'ai eu l'opportunité de découvrir une histoire très intéressante, destinée à la jeunesse, et dont le contenu m'a fait réfléchir : « La Pieuvre bleue », de Rupert Kingfisher, un roman publié aux éditions Albin Michel Jeunesse.
Résumé officiel :
Laura, 13 ans, est soudainement projetée dans un monde parallèle. Dans ce Paris-miroir, la population est sous l'emprise d'un virus, la Peste, qui se nourrit de l'imagination de ses hôtes et provoque des hallucinations cauchemardesques. Accusés d'être de super-propagateurs, les artistes sont sauvagement censurés. Celles et ceux qui se risquent à enfreindre la loi disparaissent sans laisser de traces… Pour résister, Laura et ses amis créent un magazine satirique clandestin, La Pieuvre bleue, et enquêtent sur l'origine véritable du fléau.
Un résumé qui ne laisse pas indifférent. Bien que le genre fantastique ne soit pas vraiment ma tasse de thé, je n'ai pu que m'incliner devant sa pertinence.
À la lecture, impossible de ne pas penser à la pandémie qui a paralysé le monde pendant deux ans ni aux nombreuses rumeurs liées aux reptiliens et à un virus créé de toute pièce par l'être humain pour éliminer une partie de l'humanité et imposer un nouvel ordre mondial.
Les nombreux niveaux de lecture dans ce récit extrêmement riche, qui met en garde contre les manipulations imposées par le Pouvoir, sont captivants.
Si j'ai trouvé le premier basculement dans le monde parallèle assez surprenant, je m'y suis rapidement faite. Mais ce sont les thèmes et sujets abordés qui m'ont littéralement conquise : paranoïa, espionnage, manipulations, contrôle des pensées, rivalités, censure des artistes, manque d'estime qui bloque la créativité, manque de reconnaissance, familles recomposées, les rêves confrontés à la réalité…
« La Pieuvre bleue » est roman jeunesse nécessaire qui secoue et montre l'importance d'artistes libres penseurs et éclairés dans un monde plongé dans la terreur.
J'ai eu l'opportunité de découvrir une histoire très intéressante, destinée à la jeunesse, et dont le contenu m'a fait réfléchir : « La Pieuvre bleue », de Rupert Kingfisher, un roman publié aux éditions Albin Michel Jeunesse.
Résumé officiel :
Laura, 13 ans, est soudainement projetée dans un monde parallèle. Dans ce Paris-miroir, la population est sous l'emprise d'un virus, la Peste, qui se nourrit de l'imagination de ses hôtes et provoque des hallucinations cauchemardesques. Accusés d'être de super-propagateurs, les artistes sont sauvagement censurés. Celles et ceux qui se risquent à enfreindre la loi disparaissent sans laisser de traces… Pour résister, Laura et ses amis créent un magazine satirique clandestin, La Pieuvre bleue, et enquêtent sur l'origine véritable du fléau.
Un résumé qui ne laisse pas indifférent. Bien que le genre fantastique ne soit pas vraiment ma tasse de thé, je n'ai pu que m'incliner devant sa pertinence.
À la lecture, impossible de ne pas penser à la pandémie qui a paralysé le monde pendant deux ans ni aux nombreuses rumeurs liées aux reptiliens et à un virus créé de toute pièce par l'être humain pour éliminer une partie de l'humanité et imposer un nouvel ordre mondial.
Les nombreux niveaux de lecture dans ce récit extrêmement riche, qui met en garde contre les manipulations imposées par le Pouvoir, sont captivants.
Si j'ai trouvé le premier basculement dans le monde parallèle assez surprenant, je m'y suis rapidement faite. Mais ce sont les thèmes et sujets abordés qui m'ont littéralement conquise : paranoïa, espionnage, manipulations, contrôle des pensées, rivalités, censure des artistes, manque d'estime qui bloque la créativité, manque de reconnaissance, familles recomposées, les rêves confrontés à la réalité…
« La Pieuvre bleue » est roman jeunesse nécessaire qui secoue et montre l'importance d'artistes libres penseurs et éclairés dans un monde plongé dans la terreur.
