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Critique de CocciClelia


Avant tout merci aux Editions City et à Eric Poupet pour m'avoir permis de lire ce livre.
J'aime beaucoup les cosy Mystery, mais ils doivent avoir du peps, et c'est précisément la caractéristique de celui-ci.
Il faut bien sur saluer l'auteur pour cela mais aussi la traductrice Ariane Maksioutine.
Ce livre nous emmène à Londres dans les années folles, nous fait découvrir les orchestres de jazz, et c'est sur un rythme de Charleston que se déroule l'action.
L'auteur T.E. Kinsey a déjà à son actif 6 autres livres de ce type, mettant en scène Lady Hardcastle comme détective.
Cette même lady apparaît ici aussi, mais juste pour donner le témoin à une de ses amies Ellie Maloney l'épouse américaine de Skins batteur dans un orchestre de jazz, à son époux et à Dunn lui aussi musicien (contrebassiste) dans le même orchestre. Nous laissons la campagne anglaise de Lady Hardcastle, pour recentrer l'action sur Londres, et plus précisément sur les clubs de jazz. Nous voilà partis à la recherche d'un déserteur, d'une bourse de diamants bruts, d'un crime, et de l'incroyable recherche d'un mystérieux trésor. Sans en dévoiler plus, il faut préciser que les personnages sont bien travaillés, l'action est bien construite, le rythme est bon, mais il reste très british. Un cosy mystery à savourer.
Sans rien vous révéler tout ne sera pas découvert, ce qui me fait penser que l'auteur puisse faire une suite, restons attentifs.
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