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Critique de DHALLUIN


Un pont qui ne se construit pas et qui pourtant a son utilité : joindre les deux parties de la ville de S*. Honte aux habitants…
Le poète Zeri n'est pas spécialement heureux. Pour sa ville S* (Sarajevo ?), il aspire à un pont qui ne se construit pas. Il est à la recherche d'Ezi qui, loin de la Bosnie, se retrouve à Paris, au Crazy Horse Saloon. Diable, celle-ci a des seins particulièrement « alléchants ». le faubourg est attaqué, chacun subit la dictature des vainqueurs. Professeur Muli, c'est l'intello, Gagi, la voyante et O Sole Mio, le chanteur… évidemment. Marseille et la légion étrangère où le narrateur passe trois fois cinq ans et marche dans les sables près d'Oran.
Ce livre ? Une oeuvre d'art à l'architecture surréaliste ! Les canons traditionnels sont bousculés : pas de numérotation de pages mais un agencement qui nous frappe par son originalité. de plus, pas de trame, l'écrit papillonne d'un personnage à un lieu pour plonger dans le temps.
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