Harcèleries : Miroirs et influences

Ainsi chantait Julien Barthélémy, ou plutôt faisait slamer sa voix d'IA, "Le crou accepte la candidature [...] mais pas les businessman, car ils ne sont pas créatifs." Bref j'ai eu l'impression d'être dans un Caméra Café sans humour. Vu le niveau des relations sociales qu'entretiennent les auteurs dans la vrai vie, il n'est nullement étonnant que le roman ma foi moyennement long, s'éternise sur les relations de boulot/bureau. Les fans de Thrillers y constateront l'absence de crime. Les fans de SF/Fantasy n'y trouveront par leurs éléments merveilleux. Les amateurs d'histoire d'amour se verront jetés quelques cacahuètes à manger. Je conçois bien sûr qu'il existe un public pour les "romans d'entreprise", mais l'absence de magie (au sens figuré), en fait un livre lourd à lire, si vous ne lisez pour pour vous évader et rêver, je vous le demande, pourquoi lisez vous?!...
(Harcèleries, Miroirs et Influence).
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