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Critique de Mome35
S'il fallait noter ce thriller d'Anders de la Motte dans l'échelle de l'action et du suspense, je lui mettrais un 7 sur 10. S'il faut par contre le noter sur celle de la confusion et de la masturbation intellectuelle, je lui placerais un 4.
Ancien officier de police, directeur de la sécurité dans une société spécialisée en technologies de l'information, l'auteur aime les puzzles compliqués. Son scenario en est un. Il part dans tous les coins. Il place ses pièces un peu dans tous les endroits et celles-ci vont finir par se rejoindre et reformer le tableau général au complet avec un final tout de même éblouissant.
Mais entretemps que de découvertes, que d'hémoglobine, que de personnages politiques ou policiers à l'esprit tarabiscoté, à l'âme noire, capables de toutes les vilénies, de toutes les infamies, de tous les mensonges, de toutes les corruptions, de toutes les ignominies, de tous les crimes, même les plus extrêmes pour le pouvoir.
Dans cette galerie d'acteurs, même Atif Kassab, le tueur, l'ennemi public numéro 1 peut passer pour un être sensible et humain. Julia Gabrielsson, inspectrice de la brigade criminelle doit se débattre dans ce maelstrom sous les ordres de personnages dont elle ne connaît pas les profonds desseins. Déplacée sur différentes enquêtes qui ont un lien entre elles avec un adjoint Omar Amante qu'on lui a imposé et dont elle ne maîtrise ni le passé, ni l'intelligence, ni les sentiments, elle va devoir rassembler toutes les pièces du puzzle, à commencer par le cadavre en plusieurs morceaux, d'un officier de police, découvert dans un lac, pour trouver une réponse à toutes ses interrogations. Elle va avancer avec prudence dans son propre milieu policier en touchant également aux hautes sphères du pouvoir. Ce qui n'est pas si simple.
Le rythme imposé dans les cent dernières pages sauve (peut-être pour moi) ce roman consacré meilleur poar suédois en 2015. Je n'ai probablement pas tout compris.
Ancien officier de police, directeur de la sécurité dans une société spécialisée en technologies de l'information, l'auteur aime les puzzles compliqués. Son scenario en est un. Il part dans tous les coins. Il place ses pièces un peu dans tous les endroits et celles-ci vont finir par se rejoindre et reformer le tableau général au complet avec un final tout de même éblouissant.
Mais entretemps que de découvertes, que d'hémoglobine, que de personnages politiques ou policiers à l'esprit tarabiscoté, à l'âme noire, capables de toutes les vilénies, de toutes les infamies, de tous les mensonges, de toutes les corruptions, de toutes les ignominies, de tous les crimes, même les plus extrêmes pour le pouvoir.
Dans cette galerie d'acteurs, même Atif Kassab, le tueur, l'ennemi public numéro 1 peut passer pour un être sensible et humain. Julia Gabrielsson, inspectrice de la brigade criminelle doit se débattre dans ce maelstrom sous les ordres de personnages dont elle ne connaît pas les profonds desseins. Déplacée sur différentes enquêtes qui ont un lien entre elles avec un adjoint Omar Amante qu'on lui a imposé et dont elle ne maîtrise ni le passé, ni l'intelligence, ni les sentiments, elle va devoir rassembler toutes les pièces du puzzle, à commencer par le cadavre en plusieurs morceaux, d'un officier de police, découvert dans un lac, pour trouver une réponse à toutes ses interrogations. Elle va avancer avec prudence dans son propre milieu policier en touchant également aux hautes sphères du pouvoir. Ce qui n'est pas si simple.
Le rythme imposé dans les cent dernières pages sauve (peut-être pour moi) ce roman consacré meilleur poar suédois en 2015. Je n'ai probablement pas tout compris.
