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Critique de Unlivre_unetisane
Le Tibet fait partie de ces régions dont je connais l'histoire, mais de loin.
Un peu trop loin même.
Alors, si comme moi, vous avez besoin d'une piqûre de rappel, il y a une date à retenir :
1959.
1959, c'est l'année au cours de laquelle l'armée chinoise envahit le Tibet.
Vous le saviez déjà ?
Pas la peine de se la raconter…
Mais il y a des choses que les livres d'histoires et les dates ne raconteront jamais.
Ce sont les histoires personnelles qui se jouent au coeur des drames.
L'exil.
Ne plus pouvoir compter les morts autour de soit.
Devoir vivre très jeunes entourés de fantômes.
L'écrivaine fait partie de ces enfants qui sont nés au Népal.
Qui n'ont jamais pu se rendre au Tibet.
Qui n'ont jamais pu trouver un pays où ils se sentent chez eux.
C'est un livre qui, comme la vie, ne fait pas de cadeaux.
Mais pourtant.
Comme le soleil, qui, invariablement, se lève chaque matin.
L'espoir, lui aussi, contre toute attente, surgit.
Peu importe le nombre de nuages qui l'entoure, il sera toujours là.
Caché parfois, mais présent.
Merci encore la Kube et les éditions Buchet et Castel pour ce très beau roman !
Un peu trop loin même.
Alors, si comme moi, vous avez besoin d'une piqûre de rappel, il y a une date à retenir :
1959.
1959, c'est l'année au cours de laquelle l'armée chinoise envahit le Tibet.
Vous le saviez déjà ?
Pas la peine de se la raconter…
Mais il y a des choses que les livres d'histoires et les dates ne raconteront jamais.
Ce sont les histoires personnelles qui se jouent au coeur des drames.
L'exil.
Ne plus pouvoir compter les morts autour de soit.
Devoir vivre très jeunes entourés de fantômes.
L'écrivaine fait partie de ces enfants qui sont nés au Népal.
Qui n'ont jamais pu se rendre au Tibet.
Qui n'ont jamais pu trouver un pays où ils se sentent chez eux.
C'est un livre qui, comme la vie, ne fait pas de cadeaux.
Mais pourtant.
Comme le soleil, qui, invariablement, se lève chaque matin.
L'espoir, lui aussi, contre toute attente, surgit.
Peu importe le nombre de nuages qui l'entoure, il sera toujours là.
Caché parfois, mais présent.
Merci encore la Kube et les éditions Buchet et Castel pour ce très beau roman !
