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Critique de barjabulette
Je tiens d'abord à remercier Babélio et la maison d'édition "Novice" pour l'envoi de cet ouvrage.
Je ne connais pas l'auteur. Je me suis donc empressée de le "googueliser"
J'avoue que, de prime abord, j'ai pensé que j'allais découvrir un essai "greenwashing", c'est à dire la thématique environnementale récupérée par un chef d'entreprise qui s'acharne à vendre son produit.
Le thème de l'environnement m'intéresse particulièrement, à titre privé, d'abord, il est difficile d'ignorer, en tant que citoyen, que notre planète ne va pas bien et, pour quelqu'un comme moi qui aime particulièrement la nature et a vécu personnellement les inondations de 2021 en Belgique, le sujet interpelle. A titre professionnel, également, puisque je suis en charge de la coordination des projets écologiques.
Revenons à notre essai donc.
Thibault Lamarque choisi le prisme de l'eau qu'il connait manifestement très bien. Son essai rappelle toutes les utilisations que nous faisons quotidiennement de l'eau et l'impact de nos choix sur notre environnement.
Au début de l'essai, je n'ai pas spécialement appris beaucoup de choses car ce sont des éléments connus. L'auteur continuait donc à convaincre une convaincue. Par contre, j'ignorais qu'on ingurgitait l'équivalent d'une carte de crédit en plastique par semaine ou encore les enjeux géopolitiques des ports.
"L'humanité a soif et les baleines boivent la tasse" est le genre d'ouvrages que chacun devrait lire. D'abord parce que le sujet est important mais ensuite parce que c'est bien écrit et pas pompeux comme peuvent l'être pas mal d'essais.
Le style de l'auteur est convaincant (même si je l'était déjà) et abordable pour tous.
Je recommande.
Je ne connais pas l'auteur. Je me suis donc empressée de le "googueliser"
J'avoue que, de prime abord, j'ai pensé que j'allais découvrir un essai "greenwashing", c'est à dire la thématique environnementale récupérée par un chef d'entreprise qui s'acharne à vendre son produit.
Le thème de l'environnement m'intéresse particulièrement, à titre privé, d'abord, il est difficile d'ignorer, en tant que citoyen, que notre planète ne va pas bien et, pour quelqu'un comme moi qui aime particulièrement la nature et a vécu personnellement les inondations de 2021 en Belgique, le sujet interpelle. A titre professionnel, également, puisque je suis en charge de la coordination des projets écologiques.
Revenons à notre essai donc.
Thibault Lamarque choisi le prisme de l'eau qu'il connait manifestement très bien. Son essai rappelle toutes les utilisations que nous faisons quotidiennement de l'eau et l'impact de nos choix sur notre environnement.
Au début de l'essai, je n'ai pas spécialement appris beaucoup de choses car ce sont des éléments connus. L'auteur continuait donc à convaincre une convaincue. Par contre, j'ignorais qu'on ingurgitait l'équivalent d'une carte de crédit en plastique par semaine ou encore les enjeux géopolitiques des ports.
"L'humanité a soif et les baleines boivent la tasse" est le genre d'ouvrages que chacun devrait lire. D'abord parce que le sujet est important mais ensuite parce que c'est bien écrit et pas pompeux comme peuvent l'être pas mal d'essais.
Le style de l'auteur est convaincant (même si je l'était déjà) et abordable pour tous.
Je recommande.
