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Critique de irenelec
2 parties pour ce roman de 800 pages et franchement on aurait pu se passer de la première.
La première partie a pour thème la fusillade de Colombine et les répercussions sur un couple qui y est confronté.
Je n'ai pas été touché par la manière dont l'auteur nous fait partager leur univers qui bien entendu est dévasté par l'évènement. En comparaison "il faut qu'on parle de Kevin" qui traite également de meurtres dans l'enceinte d'un établissement scolaire par un adolescent me semble bien supérieur.
La seconde partie m'a beaucoup plus plu. Nous suivons toujours le même couple mais il est maintenant en recherche de reconstruction et pour ce faire retourne dans la maison d'enfance du mari. Et c'est pour nous l'occasion de découvrir une ancêtre à lui qui voulait absolument que les femmes condamnées aient leur propre établissement pénitentiaire. On découvre ce personnage par le biais des recherches scientifiques d'une jeune femme.
L'épouse après quelques tentatives pour surmonter le choc de Colombin e n'y parvient pas et de victime elle se retrouve à la suite d'absorption de médicaments du côté des coupable et est incarcérée dans une prison pour femme. Pendant ce temps outre l'histoire de sa famille le mari découvre également son histoire personnelle.
Cette seconde partie est tout à fait intéressante, les personnages secondaires sont bien croqués et on se laisse emporter par un vrai souffle. La quatrième de couverture de l'édition le livre de poche ne s'y trompe pas et n'expose pour ainsi dire que cette seconde partie.
La première partie a pour thème la fusillade de Colombine et les répercussions sur un couple qui y est confronté.
Je n'ai pas été touché par la manière dont l'auteur nous fait partager leur univers qui bien entendu est dévasté par l'évènement. En comparaison "il faut qu'on parle de Kevin" qui traite également de meurtres dans l'enceinte d'un établissement scolaire par un adolescent me semble bien supérieur.
La seconde partie m'a beaucoup plus plu. Nous suivons toujours le même couple mais il est maintenant en recherche de reconstruction et pour ce faire retourne dans la maison d'enfance du mari. Et c'est pour nous l'occasion de découvrir une ancêtre à lui qui voulait absolument que les femmes condamnées aient leur propre établissement pénitentiaire. On découvre ce personnage par le biais des recherches scientifiques d'une jeune femme.
L'épouse après quelques tentatives pour surmonter le choc de Colombin e n'y parvient pas et de victime elle se retrouve à la suite d'absorption de médicaments du côté des coupable et est incarcérée dans une prison pour femme. Pendant ce temps outre l'histoire de sa famille le mari découvre également son histoire personnelle.
Cette seconde partie est tout à fait intéressante, les personnages secondaires sont bien croqués et on se laisse emporter par un vrai souffle. La quatrième de couverture de l'édition le livre de poche ne s'y trompe pas et n'expose pour ainsi dire que cette seconde partie.
