Anna Langfus, juive polonaise née en 1920, raconte le ghetto de Lublin, la mort des proches, la fuite, les cachettes, les caves de la Gestapo, la prison pour femmes, l'inhumanité, l'envie de mourir pour enfin quitter l'horreur. C'est glaçant, cruel, nécessaire ; et c'est sa propre jeunesse.
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