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Critique de stokely
Caroline Langlade était présente au Bataclan le soir du 13 novembre 2015, elle a trouvé refuge dans une loge avec une quarantaine de personnes et son compagnon Alexandre. le terroriste va venir jusqu'à la porte de celle-ci.
Les quarante personnes confinées dans cet espace si exigu vont souffrir de la chaleur, de la soif, de la peur, de l'attente interminable.
Lorsque leur calvaire prend enfin fin et que les policiers les libèrent ils remarquent entre autres qu'ils étaient assis sur des packs d'eau qui aurait pu leur servir lors de leur attente.
Ce témoignage est très intéressant car il se focalise également sur l'après cette peur de sortir, d'être dans les lieux ou il y a du monde. Des "nouveaux amis" de Caroline son bégaiement, ses problèmes physiques apparus après l'attentat.
Et puis Caroline Langlade va créer la fondation Life for Paris afin de pouvoir aider les rescapés et ne pas les "classer" suivant le préjudice subi. Car même si elle n'a pas été touchée physiquement, psychologiquement c'est une autre affaire. Elle va également aider les étrangers présents sur les lieux, les démarches étant déjà très compliquées lorsque l'on se trouve dans son pays mais venant d'un autre pays cela semble presque impossible pour s'en sortir seul.
L'auteur va également nous narrer le vécu de ses parents durant cette soirée et ce qu'elle ressent lors des autres attentats comme à Nice ou Orlando. Car les proches ont également souffert de cette soirée et elle parle également des policiers qui n'ont pas été suivis psychologiquement. Elle va notamment faire la connaissance de la cellule en charge de retrouver les propriétaires des objets retrouvés au Bataclan, comme cette veste auquel elle tenait tant et qu'elle a pu retrouver.
Elle raconte les premiers pas de Life for Paris ou un membre est parti pour fonder sa propre association, aux usurpations de personnes se prétendant touchées par ce drame alors qu'ils n'étaient pas présent sur les lieux.
A se confronter sans cesse aux politiques pour faire changer les choses, à toujours devoir se justifier pour faire bouger le statut des victimes.
Un témoignage poignant, lumineux et qui démontre la combativité de Caroline Langlade.
Les quarante personnes confinées dans cet espace si exigu vont souffrir de la chaleur, de la soif, de la peur, de l'attente interminable.
Lorsque leur calvaire prend enfin fin et que les policiers les libèrent ils remarquent entre autres qu'ils étaient assis sur des packs d'eau qui aurait pu leur servir lors de leur attente.
Ce témoignage est très intéressant car il se focalise également sur l'après cette peur de sortir, d'être dans les lieux ou il y a du monde. Des "nouveaux amis" de Caroline son bégaiement, ses problèmes physiques apparus après l'attentat.
Et puis Caroline Langlade va créer la fondation Life for Paris afin de pouvoir aider les rescapés et ne pas les "classer" suivant le préjudice subi. Car même si elle n'a pas été touchée physiquement, psychologiquement c'est une autre affaire. Elle va également aider les étrangers présents sur les lieux, les démarches étant déjà très compliquées lorsque l'on se trouve dans son pays mais venant d'un autre pays cela semble presque impossible pour s'en sortir seul.
L'auteur va également nous narrer le vécu de ses parents durant cette soirée et ce qu'elle ressent lors des autres attentats comme à Nice ou Orlando. Car les proches ont également souffert de cette soirée et elle parle également des policiers qui n'ont pas été suivis psychologiquement. Elle va notamment faire la connaissance de la cellule en charge de retrouver les propriétaires des objets retrouvés au Bataclan, comme cette veste auquel elle tenait tant et qu'elle a pu retrouver.
Elle raconte les premiers pas de Life for Paris ou un membre est parti pour fonder sa propre association, aux usurpations de personnes se prétendant touchées par ce drame alors qu'ils n'étaient pas présent sur les lieux.
A se confronter sans cesse aux politiques pour faire changer les choses, à toujours devoir se justifier pour faire bouger le statut des victimes.
Un témoignage poignant, lumineux et qui démontre la combativité de Caroline Langlade.
