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Critique de BurjBabil


Poursuite des péripéties dans le mode des Lazares, ces êtres qui selon les cas, sont issus de manipulations génétiques, des demi-machines augmentées pouvant quand même "buguer" ou justes des êtres gonflés aux substances chimiques.
Le tome 4 nous avait fait entrevoir une vérité qui est confirmée dans cet opus au sujet du Lazare héroïne de cette série : forever.
C'est presque le seul personnage sympa de la galerie proposée. Sa "famille" pouvant représenter l'occident dans cette société dystopique est... à gerber? Dommage car c'est ceux pour qui nous sommes amenés à nous solidariser par effet d'identification.
Les autres sociétés, non décrites de l'intérieur ont l'air tout aussi horribles.
Là, par contre, il est facile de comprendre que ce sont les méchants : on dirait des soldats du troisième Reich et ils ont des noms germaniques : Rausling, ou bien ils sont barbares à moitié nus car ils n'ont pas froid : les Russes : Vassalovka...
Toute la représentation de l'ennemi selon les canons habituels. Avec l'héroïsation des soldats de Carlyle (famille de forever) dont on se demande ce qui peut les arrêter tellement ils sont supérieurs en armes et en organisation et en lazares et en alliés et en... Métaphore des U.S.A?
J'avoue avoir trouvé cette suite assez inintéressante.
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