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Critique de Verdorie
Quand les champs de cultures autour du village africain, où habite la petite Abeba, sont envahis par les criquets, les femmes ont peur pour les récoltes...
Alors que les hommes l'approuvent, le gros roi bâfré ordonne aux femmes de remédier rapidement à ce problème qui risque de provoquer la famine...et surtout la disette du roi !
Les femmes essayent vainement de chasser ou de capturer les petites bestioles affamées. Mais c'est Abeba, avec son sens de l'équité et en observant le roi, qui trouvera la solution...
Un premier petit roman dans lequel les rôles des femmes et des hommes (dont le monarque omnipotent) sont clairement définis pour mettre l'accent sur le sexisme et la manque de solidarité qui en résulte.
Les illustrations aux couleurs gais et chauds soulignent bien les propos du texte.
Alors que les hommes l'approuvent, le gros roi bâfré ordonne aux femmes de remédier rapidement à ce problème qui risque de provoquer la famine...et surtout la disette du roi !
Les femmes essayent vainement de chasser ou de capturer les petites bestioles affamées. Mais c'est Abeba, avec son sens de l'équité et en observant le roi, qui trouvera la solution...
Un premier petit roman dans lequel les rôles des femmes et des hommes (dont le monarque omnipotent) sont clairement définis pour mettre l'accent sur le sexisme et la manque de solidarité qui en résulte.
Les illustrations aux couleurs gais et chauds soulignent bien les propos du texte.
