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Critique de dacotine
Quel voyage fabuleux nous offre Fanny Laurent avec l'histoire de ce jeune garçon dans l'Inde aux multiples facettes.
A ses côtés, on traverse - l'Inde et ses lieux emblématiques :
les descriptions des paysages, des monuments sont criants de détails. On se retrouve sur les ghâts de Varanasi, entouré de cette foule bigarrée et vivante. On hume la nature et l'univers lors des marches...On entre dans les temples de Sarnath, on traverse Kanpur...Rishikesh, lieu de pélerinage... Des lieux chargés émotionnellement, spirituellement.
- et des champs émotionnels forts. le jeune garçon est représentatif de beaucoup d'enfants en Inde. Abandonné par son père, il perd sa mère, une jeune femme qui a eu le malheur de sortir de sa condition de femme, de choisir son mari et de quitter sa région. le début de récit et le début de vie du personnage s'annonce dramatique. On se retrouve plongé en plein deuil et on assiste aux rites funéraires à Varanasi, sur les ghâts des bûchers millénaires.
Ce jeune devient un de ses miséreux qu'on rencontre dans les rues, il erre sans but. Il va cependant rapidement faire de belles rencontres en la personne d'une jeune nonne qui va l'initier à la méditation, à la marche. de chemin en chemin, il regarde le monde qui l'entoure - il est ensuite hébergé par un père de famille, puis suit un pèlerin -mais avant tout il se découvre. Tout en s'ouvrant aux autres, il s'ouvre sur le monde et sur lui.
C'est un magnifique cheminement. On y découvre la spiritualité dans son sens général, tout en découvrant les particularités des religions principales de l'Inde, l'Hindouïsme, le Bouddhisme, le Sikkhisme. Le parcours initiatique de notre jeune héros est plein d'espoir et de sagesse.
Pour les amoureux de l'Inde mais pas que, Ganga est une source de découverte, d'un pays complexe, de ses rituels, de ses conditions de vie, de ses limites, de ses croyances, de son fleuve purificateur, de certains concept philosophique et religieux. Quelle belle découverte ! Je suis sortie de cette lecture dépaysée et zen, souriante, admirative d'un tel chemin de vie.
A ses côtés, on traverse - l'Inde et ses lieux emblématiques :
les descriptions des paysages, des monuments sont criants de détails. On se retrouve sur les ghâts de Varanasi, entouré de cette foule bigarrée et vivante. On hume la nature et l'univers lors des marches...On entre dans les temples de Sarnath, on traverse Kanpur...Rishikesh, lieu de pélerinage... Des lieux chargés émotionnellement, spirituellement.
- et des champs émotionnels forts. le jeune garçon est représentatif de beaucoup d'enfants en Inde. Abandonné par son père, il perd sa mère, une jeune femme qui a eu le malheur de sortir de sa condition de femme, de choisir son mari et de quitter sa région. le début de récit et le début de vie du personnage s'annonce dramatique. On se retrouve plongé en plein deuil et on assiste aux rites funéraires à Varanasi, sur les ghâts des bûchers millénaires.
Ce jeune devient un de ses miséreux qu'on rencontre dans les rues, il erre sans but. Il va cependant rapidement faire de belles rencontres en la personne d'une jeune nonne qui va l'initier à la méditation, à la marche. de chemin en chemin, il regarde le monde qui l'entoure - il est ensuite hébergé par un père de famille, puis suit un pèlerin -mais avant tout il se découvre. Tout en s'ouvrant aux autres, il s'ouvre sur le monde et sur lui.
C'est un magnifique cheminement. On y découvre la spiritualité dans son sens général, tout en découvrant les particularités des religions principales de l'Inde, l'Hindouïsme, le Bouddhisme, le Sikkhisme. Le parcours initiatique de notre jeune héros est plein d'espoir et de sagesse.
Pour les amoureux de l'Inde mais pas que, Ganga est une source de découverte, d'un pays complexe, de ses rituels, de ses conditions de vie, de ses limites, de ses croyances, de son fleuve purificateur, de certains concept philosophique et religieux. Quelle belle découverte ! Je suis sortie de cette lecture dépaysée et zen, souriante, admirative d'un tel chemin de vie.
