Une seconde partie qui m'a nettement plus convaincue que la première !
Reine, fille de l'aigle sans orteil, est une personnalité attachante. C'est une jeune féministe, au caractère affirmé, qui s'intéresse à son passé, veut savoir d'où elle vient et sait où elle veut aller. Elle s'engage dans des études de journalisme, peu courantes pour une femme à l'époque, s'incruste sur le Paris-Roubaix, et mène sa vie sentimentale de manière moderne et libre.
Elie, le galibot cycliste, m'a paru plus fade en comparaison, même s'il est sympathique, avec son oncle Quentin.
Et le dessin, je reste toujours un peu à côté. Mais bon, c'est juste une affaire de goût !
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