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Critique de Augustin334
Cette tragédie fait suite (historiquement) à la Guerre de Troie et raconte un épisode de la vie d'Enéé, après son périple en Méditerranée et sa rencontre malheureuse avec Didon, la reine de Carthage.
Il est toujours poursuivi par la malédiction de Junon qui en veut aux Troyens, depuis "Le Jugement de Pâris", un autre fils de Priam connu pour avoir enlevé Hélène, l'épouse de Ménélas, et aussi pour avoir préféré Vénus à Héra comme reine de beauté.
Celle-ci dont les cornes dominent l'Olympe à cause des adultères de Jupiter se transforme en Euménide en ayant recours aux divinités infernales afin d'assouvir sa soif de vengeance.
Lorsqu'Enée triomphe en combat singulier de Turnus, la déesse reconnaît sa défaite. Mais ce repentir est-il sincère, sachant qu'elle n'avait pas hésité à envoyer des serpents pour étouffer Hercule alors qu'il n'était encore qu'enfant ?
Cette tragédie lyrique est avant tout visuelle, avec des Faunes, des Gnômes, des déesses arrivant sur scène en char céleste. Si les allégories émaillent l'oeuvre mettant en scène la musique de Dauvergne, le texte reste assez mièvre. du moins, c'est l'impression générale qu'il est ressortie de ma lecture...
Il est toujours poursuivi par la malédiction de Junon qui en veut aux Troyens, depuis "Le Jugement de Pâris", un autre fils de Priam connu pour avoir enlevé Hélène, l'épouse de Ménélas, et aussi pour avoir préféré Vénus à Héra comme reine de beauté.
Celle-ci dont les cornes dominent l'Olympe à cause des adultères de Jupiter se transforme en Euménide en ayant recours aux divinités infernales afin d'assouvir sa soif de vengeance.
Lorsqu'Enée triomphe en combat singulier de Turnus, la déesse reconnaît sa défaite. Mais ce repentir est-il sincère, sachant qu'elle n'avait pas hésité à envoyer des serpents pour étouffer Hercule alors qu'il n'était encore qu'enfant ?
Cette tragédie lyrique est avant tout visuelle, avec des Faunes, des Gnômes, des déesses arrivant sur scène en char céleste. Si les allégories émaillent l'oeuvre mettant en scène la musique de Dauvergne, le texte reste assez mièvre. du moins, c'est l'impression générale qu'il est ressortie de ma lecture...
